1. Trois = Quatre moins une...


    Datte: 14/11/2022, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, candaul, Auteur: Azteca, Source: Revebebe

    ... rasé de près (que je ne perdais pas de vue), pendant que je lui parlais, pour tenter de la détourner de l’autre couple.
    
    Quand les yeux de Ninon se hasardèrent au-dessus de mes épaules, je n’en compris pas immédiatement le pourquoi, mais quand je me retournai, je me retrouvai en face de l’autre couple de danseurs. André, de dos, serrait Constance contre lui et, de sa main gauche, lui caressait un sein, laiteux, sans vergogne, sans hâte, en homme sûr de lui, pendant que ma femme collait son ventre contre le ventre du mâle, et que ses mains lui caressaient la nuque avec douceur. Ensuite, les deux danseurs rapprochèrent leurs visages, leurs bouches se rejoignirent pour un baiser intense, pendant que la main d’André lâchait le sein de Constance pour descendre jusqu’à son pubis, s’attarder entre ses poils puis chercher le clitoris, le trouver, le titiller, provoquant une crispation des fesses de Constance contre le mâle qui la lutinait.
    
    J’étais comme électrocuté.
    
    Certes, je savais bien que Constance avait eu quelques amants (« Il faut bien passer le temps… »), mais j’avais préféré ne rien voir. Et là, pour la première fois, je voyais que l’adultère de mon épouse n’était plus abstrait, mais au contraire, terriblement concret. Ce n’était pas un film, mais un spectacle vivant, terriblement (terriblement !) érotique, dont j’étais le spectateur : mon épouse se donnait, sans aucune pudeur, les seins nus, le ventre nu, à un homme dont les mains prenaient possession de son corps, ...
    ... la caressaient, la pénétraient, impudemment, la faisaient frissonner de plaisir. Puis, la tête posée sur l’épaule de son mâle, les yeux fermés de ma femme s’étaient ouverts pour m’adresser un regard, même pas de défi, mais trouble, cruellement indifférent à tout ce qui n’était pas le plaisir que lui donnait son amant.
    
    Ce spectacle me bouleversa. Sa femme me trompait ouvertement, sans aucun remords, sans aucune réticence, et je ne me rebellais pas. Avec stupeur, je me rendis compte que mon corps réagissait, mais pas comme je le pensais : mon érection me contrariait : voir ma femme nue entre les bras d’un homme nu me faisait bander, et sacrément !
    
    Revenant sur terre, je pris conscience que moi aussi, j’étais également nu et que je tenais, moi aussi, une femme nue dans les bras. Ma main droite descendit vers les petites fesses de Ninon, les caressèrent, puis remontèrent entourer un mignon petit nichon, pendant que de ma main gauche, je pressai le mince corps de sa danseuse contre mon ventre. Ninon leva son visage vers le sien, me tendit ses lèvres, dont je m’emparai maladroitement. Elle appuya son ventre contre mon sexe et entreprit un lent mouvement de son bassin, pour le caresser. Je commençais à comprendre les charmes de l’amour libre… Mais quand je vis passer sa femme, les yeux baissés, les seins pointés, et qui, le tenant par le sexe, menait vers notre chambre conjugale un André au sexe confiant et tendu vers sa future maîtresse, j’eus l’impression de recevoir un coup ...