Trois = Quatre moins une...
Datte: 14/11/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
cocus,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
candaul,
Auteur: Azteca, Source: Revebebe
J’ai mal dormi, mais la fatigue a eu raison de moi et j’ai fini par m’endormir. Pas longtemps, car j’ai été tiré de mon sommeil par des bruits dans le salon… pas n’importe quels bruits… les halètements d’un homme qui baise, les gémissements d’une femme, de ma femme, qui va jouir, encore…
Ils n’en auront jamais assez. Je pensais pourtant que, la veille, Constance avait eu son compte d’orgasmes et que nous avions déversé suffisamment de salive et de sperme en elle pour la rassasier. Mais non, il semble bien que le sommeil a réveillé son appétit. À moins que ce ne soit André qui en veuille encore.
Pourtant, hier, il s’est bien dépensé, lui aussi…
Hier soir, en cette fin d’été, Constance et moi, avons reçu dans notre petite maison de Saint-Brieuc, d’anciens collègues de Vannes, André, célibataire, et Ninon, que son mec venait de quitter. Le repas s’était déroulé dans une ambiance amicale, chacun évoquant différentes anecdotes, et l’alcool avait coulé, réchauffant les esprits et les corps. Après le repas, nous étions passés au salon où les libations avaient continué, pendant que nous refaisions le monde. Jusqu’au moment où André lança une proposition, à priori saugrenue :
— Et si l’on faisait un strip-poker ?
Dans notre brume alcoolisée, je ne m’étais pas rendu compte de ce que cela signifiait, ni jusqu’où nous pouvions être amenés à aller. Je savais que Constance avait un amant, plus ou moins régulier, mais je n’avais jamais imaginé « la chose ». Comme personne ...
... n’opposa de franche opposition, le jeu se mit en place. La saison, l’alcool et notre insouciance firent qu’aucun de nous quatre, au fil du jeu, ne refusa de retirer, l’un après l’autre, le peu de vêtements que nous avions conservés après le repas. Bref, peu de temps plus tard, nous nous sommes retrouvés tous les quatre nus.
J’avais regardé Ninon qui, bien que trentenaire, avait un corps d’adolescente, pas très grande, avec de petits seins et de petites fesses. Je l’avais, machinalement, en esthète (?), comparée à Constance, mon épouse, plus grande, au fessier ferme, musclé, et aux seins pleins, très légèrement tombants, à l’aréole large, arrogante.
Une belle femme et une jolie femme.
Et André avait posé une autre question à Constance :
— On danse ?
Je savais bien que Constance avait dû avoir un, ou plusieurs amants, sans me l’avouer franchement, mais je fus surpris de la voir accepter l’invitation, si facilement, comme si elle l’attendait, sans hésitation. Elle se leva, les seins ballants, libres, alluma le lecteur, introduisit un CD et, aussi nue que si elle sortait du puits, elle se blottit dans les bras d’André, tout aussi nu qu’elle. Pour la première fois, je voyais mon épouse dans les bras d’un autre homme (je savais la chose probable, mais ne l’avais jamais vue…). Pour garder une contenance (?), j’invitai Ninon à danser et la pris dans ses bras. Naïvement, je conservais une distance qui m’évitait de toucher de ma poitrine ses mignons nichons et son ventre, ...