Par un bel après-midi - Histoires de Sexe

Par un bel après-midi

... derrière. Elle se penche alors sur le torse du premier et celui-ci lui ouvre ses jolies fesses pour faciliter l’intromission de son copain. J’observe alors que le second homme connaît son affaire, car il étale soigneusement l’abondante mouille de Patricia tout au long de la raie de son petit cul, tout en testant doucement la souplesse de son anus, d’un, puis de plusieurs doigts. Quand il juge la place bien préparée, il pose son gland et pousse lentement, à petits coups de reins que la coquine vient elle-même chercher en faisant de même.

Les trois complices ondulent ensuite longtemps, bien en rythme et le spectacle m’incite à me joindre au jeu en proposant ma bite à ma chère amie. Tout en suivant le mouvement de ses deux baiseurs, elle attrape ma queue d’une main et l’engage dans sa bouche, au plus profond qu’elle peut avec l’intention de me faire gicler. Je me régale de son adresse et de l’ensemble de la scène alors que l’homme allongé sous elle se tend soudain et vient gicler au fond de son ventre, protégé, heureusement ! Quelques soubresauts manifestent tout le plaisir qu’elle a donné à cet amant, mais cela a aussi pour effet d’emmener l’autre au bord de l’explosion ! Il sort donc son sexe raide du joli cul qui l’a accueilli et Patricia de ...

... crier :

— Vite, viens sur moi, sur mes fesses, gicle sur mes reins !

Et l’autre de retirer vivement la capote, juste à temps pour que les premiers jets blanchâtres atterrissent sur le cul et le dos de ma douce coquine. Puis il se branle encore un peu avant que Patricia ne se retourne pour cueillir les dernières gouttes de sperme qui perlent et les déguster sur sa langue, dans un soupir de satisfaction.

Les deux hommes, que ma douce a donc fait jouir deux fois déjà depuis le début de l’après-midi, semblent avoir besoin de reprendre un peu de forces et nous abandonnent non sans avoir très gentiment remercié ma belle pour ces excellents moments passés ensemble. Nous restons seuls et j’embrasse longuement et langoureusement ma complice en caressant son dos humide et chaud où le sperme s’est étalé.

— Hummm, c’était bon ! souffle-t-elle en pelotonnant contre moi, ils étaient à la fois très doux et vigoureux, comme j’aime ! J’espère qu’on les reverra…
— Sans doute qu’ils reviendront ici, après ce que tu leur as fait vivre. Et moi aussi, je reviendrai, j’y reviens même tout de suite !

Je la couche alors sur le dos et, directement, je m’enfonce en elle, dans son sexe bouillant et accueillant… jusqu’à ma propre jouissance qu’elle accompagne.