Par un bel après-midi - Histoires de Sexe

Par un bel après-midi

... de conduite et c’est Patricia qui précise :

— Bien sûr, tu me connais ! Nous sommes juste allés faire un petit tour là-bas, au fond de la salle, dans l’alcôve… et elle me désigne l’endroit un peu caché dans la pénombre, où elle aime s’isoler avec ses complices du jour.
— Et alors… chère coquine ? Dis-moi tout !
— Eh bien, ces messieurs semblaient si émus et même un peu pressés qu’il m’a semblé nécessaire de les faire patienter…
— Tu es toujours aussi compréhensive et soucieuse du bien d’autrui, je vois ça !
— Exactement. Ils étaient très tendus, d’ailleurs… comme en ce moment à nouveau.

Dans un petit rire moqueur, elle glisse ses deux mains élégantes sur le bas-ventre de ses voisins, dont les pantalons laissent apparaître quelques rondeurs qu’elle empoigne et masse lentement.

— Ils ont repris du poil de la bête, dirait-on, explique-t-elle, car, tout à l’heure, je les ai bien soulagés… enfin, je crois !
— Tout à fait, lancent-ils ensemble, en fait, votre amie nous a sucés et branlés comme une reine !
— Ouahhhh ! Oh oui, dit-elle, ils ont tout giclé sur mon visage et mes lèvres, je déguste encore… ! Ils n’ont même pas pris le temps de retirer leurs vêtements.

Le récit a remis les trois complices dans l’ambiance et leurs caresses se font plus précises et insistantes. Patricia, tout en branlant les types par-dessus leur pantalon, a ouvert ses cuisses de manière que son string peut être écarté aisément par leurs doigts qui se rejoignent sur les replis luisants ...

... de sa chatte. Elle se glisse légèrement vers le bord du canapé pour leur faciliter le travail et remue lentement son ventre pour aller au-devant de leurs mains, puis elle se cabre et, manifestement, profite d’une première jouissance. Il faut dire qu’elle aime autant se montrer comme elle le fait, que de se faire prendre…

Mais ces jeux ne suffisent plus et, tranquillement, elle se lève en lissant sa jupe sur ses cuisses et, prenant les deux hommes par la main, elle les invite à la suivre vers les coins câlins installés à l’étage. Je la suis des yeux et admire le lent balancement de ses hanches, alors que les mains des deux complices s’égarent sur ses fesses qui tendent la soie de la jupe. Profitant de cet intermède, je commande une boisson et m’installe confortablement sur le fameux canapé, leur laissant le temps d’aller s’installer pour leurs jeux à venir.

Après quelques minutes passées à deviser avec le barman, je pars les rejoindre l’étage, dans l’une des chambres bien installées pour les ébats des clients de l’endroit. Arrivé sur le palier qui dessert plusieurs pièces aux portes ouvertes, je me glisse discrètement à la recherche de ma coquine. Dans la première chambre, deux couples batifolent avec des messieurs qui tirent plus que des soupirs des deux dames qui leur sont offertes. J’observe quelques instants puis poursuis ma recherche. Dans la chambre du fond, l’ambiance semble plus calme, car il y a moins de monde… puisqu’il n’y a que Patricia, déjà dénudée en partie ...