1. Conséquences de la crise Covid et d'une prothèse


    Datte: 08/11/2022, Catégories: fh, hagé, médical, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, confession, nostalgie, rencontre, Auteur: EmmaJm, Source: Revebebe

    ... pas très grande, elle est juste un peu enveloppée et ces quelques rondeurs lui confèrent une féminité sereine et affirmée qui me plaît bien. Elle a des cheveux bruns, qu’elle porte tirés en arrière. Le masque ne laisse voir que deux petites oreilles toutes menues et surtout deux yeux brun clair pétillant de bonne humeur.
    
    Elle parvient enfin à arrêter l’alarme, me rassure sur mon innocente bêtise et part chercher le traditionnel pack. Elle le pose sur mon lit, juste à côté de ma jambe.
    
    — Voulez-vous que je vous aide ? Maintenant on peut le faire.
    
    Ça me plairait bien, mais je n’ose pas : je me suis débrouillé seul jusqu’à présent, quel prétexte trouver pour me faire aider maintenant ? En plus, mon confortable vieux short de pyjama n’est ni seyant ni… seyant !
    
    — C’est bon, merci, j’ai l’habitude.
    
    Je me donnerais des gifles ! J’ai raté un moment de douceur possible ! Alors quand, se dirigeant vers la porte elle me dit comme à son habitude :
    
    — Donc, tout va bien, si vous avez besoin de quelque chose n’hésitez pas.
    
    Je me jette à l’eau :
    
    — Si, j’ai besoin de quelque chose, mais comme vous m’avez déjà donné un peu de vous, je crains d’abuser.
    
    Je suis aussi sidéré qu’elle par ce que je viens de dire ! Elle revient vers moi :
    
    — Que voulez-vous dire ?
    
    Le ton, moins léger que d’habitude, me met à la torture. Je reste un moment coi puis je me lance et débite d’une traite pour ne pas risquer d’être interrompu :
    
    — Écoutez, tout à l’heure quand vous ...
    ... bricoliez à côté de moi, j’ai senti votre odeur et j’ai beaucoup aimé ça. Je l’ai trouvée très agréable et elle témoigne que vous êtes vivante, humaine, pas un automate aseptisé. Alors, sans vouloir vous ennuyer ou vous offenser, si vous vouliez vous pencher vers moi pour que je puisse vous sentir encore ce serait très gentil. Je peux fermer les yeux si vous préférez.
    
    Elle reste muette un moment et je crains une gifle ou des insultes.
    
    Mais elle fait un pas vers moi, approche son cou de mon visage et reste ainsi un court instant. Je hume tant que je peux et quand je crois que c’est terminé, elle soulève son bras et me donne son aisselle à sentir. Je me gave de son odeur essayant de la mémoriser pour plus tard. Elle finit par se relever et, d’un ton mi-moqueur mi-mutin, me dit :
    
    — C’était bien ? Ça va aller ? Ça suffira comme ça ?
    
    C’était la question à ne pas poser, je saute sur l’occasion et très directif :
    
    — Aissah, donnez-moi votre pied à sentir.
    — C’est une blague !
    — Pas du tout. Vous m’avez fait battre le cœur en m’offrant votre aisselle. C’était très bon et j’ai envie de plus fort. Allez, votre pied, vous ne risquez pas le Covid et vous pourrez toujours vous moquer de moi après.
    — Je n’ai pas l’intention de me moquer. Quand vous m’avez sentie, la sensation était étrange, mais ça ne m’a pas choquée.
    
    La voilà qui se baisse, enlève une tennis, pose son pied sur le lit à côté de ma poitrine et reste debout sur l’autre jambe, appuyée contre le bord du ...
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