1. Conséquences de la crise Covid et d'une prothèse


    Datte: 08/11/2022, Catégories: fh, hagé, médical, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, confession, nostalgie, rencontre, Auteur: EmmaJm, Source: Revebebe

    ... ça introduit une note différente, mélange d’exotisme du passé et d’interdit…
    
    Nous avons accordé nos rythmes, mes léchages et aspirations se sont synchronisés à ses mouvements. Pourtant, à la différence de la veille, son plaisir n’éclate pas et vu l’énergie qu’elle met, je crains qu’elle n’arrive pas au bout, je me dois de l’aider davantage. Je fais donc glisser mes mains de ses cuisses où elles étaient posées sur ses hanches, ses petites poignées d’amour, je reviens vers son ventre et remonte enfin vers ses seins. Mes mains en coupe, je le soulève, les malaxe très doucement et finis par prendre ses tétons entre pouce et index.
    
    Je la sens se tendre et je me mets à faire rouler entre mes doigts ses bourgeons et à serrer.
    
    — Ouiiii !
    
    Entre soupir et supplique, le message est clair. Je roule et serre de plus en plus fort. Elle éclate enfin dans un cri, hélas retenu, vu le manque d’insonorisation des chambres.
    
    Elle s’écarte de ma bouche et se penche en avant en appui sur la tête de lit pour reprendre son souffle. Je trouve le spectacle de son ventre et de ses seins qui enflent et se relâchent attendrissant et j’en profite tranquillement.
    
    Mais je ne veux pas en rester là, quand je la sens un tantinet remise je repose fermement les mains sur ses cuisses et l’oblige à s’abaisser, je m’arrange pour plaquer son petit trou sur ma bouche, grande ouverte.
    
    Elle sursaute, mais je maintiens en force la position.
    
    — Non ! C’est pas… Hoooo !…(silence)…
    
    J’ai ...
    ... commencé à faire tourner ma langue tout autour de son anus, ce qui a provoqué sa réaction. Je continue encore avant de lécher l’entrée de bas en haut.
    
    — Faut pas ! Je suis pas… c’est pas prop… Hummm ! Houaou ! Doucement, pas trop vite, s’il vous plaît, j’ai jamais fait, c’est trop bon.
    
    Maintenant qu’elle n’est plus réfractaire, je relâche la pression sur ses cuisses, elle peut se soulever un peu et j’en profite pour souffler alternativement froid et chaud sur son orifice trempé. Que je retrempe copieusement par de grands coups de langue. Justement j’aimerais bien la pénétrer ainsi, mais elle est trop serrée, trop tendue et pas encore prête à ces jeux avec moi.
    
    Elle s’écarte et vient s’allonger sur moi, son visage toujours masqué dans mon cou, ses seins sur ma poitrine, ses jambes emmêlées aux miennes et son triangle brun sur mon sexe qui a définitivement quitté son boxer.
    
    Je l’entoure de mes bras et nous reprenons souffle et esprits ( !) tranquillement.
    
    Que ce moment est doux et tendre ! Je le prolongerais volontiers, mais ce n’est pas l’idée d’Aissah ; la voilà qui bouge son bassin et comme la veille nos sexes se rencontrent, se redécouvrent. Nos poils se mêlent, se démêlent, ses boucles s’écartent et ma queue retrouve ses lèvres, humides, chaudes, douces. Les glissements sont un doux supplice : je veux tenir encore !
    
    — Je vous veux, je vous veux, je vous veux… comme hier ! Soyez sage !
    
    Facile à dire ! Je ne vais quand même pas penser à mes impôts pour faire ...