1. De la vierge à la salope (suite) (4)


    Datte: 07/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    ... s’il se trouve collé à une jolie fille. Sa main s’aventure sous la robe.
    
    — Oh la salope, elle n’a pas de culotte.
    
    Il s’empare de sa chatte, Marie-France, après s’être raidie, se laisse aller, écartant même les jambes pour lui laisser libre accès à son minou.
    
    —Putain elle mouille, elle est rasée.
    
    Ses potes ne veulent pas être laissés pour compte, une autre main s’insinue sous ma jupe.
    
    — Celle-là aussi est cul nu, et elle mouille aussi, 2 vraies salopes.
    
    Mais nous étions arrivées, il nous faut descendre.
    
    Nous sommes à Pigalle. J’ai décidé d’aller dans un sex-shop, pour choisir des dessous pour Marie-France, et lui faire découvrir les Glory Hole.
    
    Nous sommes dans le sex-shop. Le patron me fait la bise, comme d’habitude. Je suis connue ici. Les filles me disent bonjour, elles attendent les clients pour aller faire leur show.
    
    J’entraîne Marie-France à l’étage des fringues. D’abord quelques jupes très courtes qui n’en montrent plus qu’elles ne cachent, des hauts très décolletés. Puis les guêpières, une, seins nus, bien sûr, plutôt une qui offre bien les seins, comme sur un plateau, qui encadre la chatte, des jarretelles pour les bas, un laçage très serré pour faire cambrer les reins, et offrir le cul.
    
    J’ai trouvé le modèle idéal. Je demande à Marie-France de se déshabiller pour essayer la guêpière.
    
    Elle cherche une cabine.
    
    — Mais non ma chérie, ici pas de cabines d’essayage. Tout le monde doit profiter du spectacle.
    
    Après quelques secondes ...
    ... d’hésitation, elle fait passer sa robe par-dessus sa tête. Exclamation, nos voisins de métro nous ont suivis. Ils sont tous là. Marie-France essaye de se cacher, mais je l’en empêche. Je lui fais passer la guêpière, positionnant ses seins, puis je me mets derrière elle pour lacer l’engin. Elle est offerte aux regards des jeunes gars qui n’en perdent pas une miette. Le laçage s’avère difficile, je fais donc appel à un des voyeurs pour m’aider, il s’empresse de me rejoindre, il finit le laçage de la guêpière en serrant au maximum.
    
    Marie-France peut enfin se voir, ses seins pointaient, les tétons gonflés et durcis, la chatte encadrée par le bas de la guêpière, le cul cambré, je lui fais enfiler des bas pour terminer.
    
    Elle est bouche bée devant le miroir. Je l’entraîne.
    
    — Viens, je vais te faire découvrir les Glory Hole.
    
    J’ai parlé assez fort pour que tout le monde entende.
    
    Nous sommes arrivées dans la pièce destinée à cet usage. Marie-France, étonnée, regarde autour d’elle, se demandant à quoi servent les trous dans le mur.
    
    Je lui explique, attends, tu vas voir. Nous n’attendons pas longtemps. Les bites commencent à pointer. Marie-France regarde, étonnée.
    
    — Fais comme moi.
    
    Je m’approche de la première bite que je saisis, puis après l’avoir léchée sur toute la longueur, je l’engloutis.
    
    Marie-France me regarde.
    
    Je lâche ma bite :
    
    — Vas-y, tu vas voir, tu vas adorer.
    
    Alors elle se laisse tenter. C’est, nous suçons les bites une après l’autre, ...