1. De la vierge à la salope (suite) (4)


    Datte: 07/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    ... m’abandonner, suce-moi.
    
    La petite salope y a pris goût.
    
    A ce rythme-là, Albert ne tarde pas à lâcher la purée, provocant ma jouissance. Sous mes coups de langue, Marie-France me suit de près.
    
    Après cet intermède, nous finissons de nous préparer, et nous sortons de la maison. Malgré son insistance, Albert ne peut obtenir de nous accompagner, ni savoir où nous allons.
    
    Pour faire ce que je veux faire, nous n’avons pas besoin de nos mecs.
    
    La phrase d’Albert lors de notre soirée de réveillon me trotte dans la tête. Vous vous souvenez ?
    
    A ma demande, étonnée de l’absence de Marie-France, il m’a répondu que seules des salopes étaient invitées.
    
    Qu’à cela ne tienne, je vais faire de Marie-France une vraie salope, pour le prochain réveillon. je lui ai fait donc revêtir une de mes robes, très échancrée dans le dos, jusqu’aux fesses, on voit même le début de la raie. La robe est courte, le haut très moulant laisse deviner les seins, libre, pas question de porter un soutien-gorge avec une telle robe. Le bas est plissé, ample. Pas de culotte malgré ses protestations. Marie-France est un peu plus grande que moi, donc la robe est un peu plus courte pour elle, s’arrêtant au ras des fesses.
    
    Première épreuve. Entre la maison et le métro, il y a une grille d’aération de métro, cette grille prend tout le trottoir. Je ne sais si c’est fait exprès, mais il y a là un banc, les vieux pervers de la maison de retraite d’à côté sont installés là en permanence, attendant le ...
    ... passage d’une nana en jupe qui sera soulevée (la jupe pas la nana) par le souffle.
    
    Arrivée en vue de la grille Marie-France voulue changer de trottoir.
    
    — Pas question, ma chérie. Ces messieurs sont au spectacle, je suis sûre qu’ils vont apprécier celui que nous allons leur offrir.
    
    Dès notre arrivée sur la grille, nos jupes s’envolent offrant aux voyeurs, notre cul nu et nos chattes rasées. Nous nous immobilisons un moment pour que ces braves vieux se régalent du spectacle. Ils nous ont même applaudis.
    
    —Alors ma chérie, ça t’a plu de te faire admirer, je parie que tu mouilles.
    
    — J’ai honte, qu’est-ce que tu me fais faire.
    
    —T’aimes ça, j’en suis sûre. Attends la suite.
    
    Métro. Le wagon est presque vide, peut-être à cause de la présence d’une bande de jeunes, pas très rassurants. Marie-France n’est pas à son aise. Il y a de la place partout, mais je m’installe près d’eux, à leur grande surprise.
    
    Je me colle contre Marie-France, mes mains sur ses fesses. Je couvre son visage de petits baisers. Elle résiste au début, mais finit par se laisser faire. Les jeunes nous regardent en souriant, ils chuchotent entre eux.
    
    Je m’empare des lèvres de Marie-France, les force. Marie-France les tient fermées, mais je force avec ma langue, elle finit par céder, mélangeant sa langue à la mienne, dans un baiser passionné.
    
    J’en profite pour la pousser contre le gars le plus proche. Surpris, il reste les bras ballants, mais très vite, il comprend que ce n’est pas par hasard ...
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