1. De la vierge à la salope (suite) (4)


    Datte: 07/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    Après cette journée bien remplie, la nuit fut reposante.
    
    Le lendemain matin, après un solide petit-déjeuner, Norbert part au travail. Albert est resté avec nous. Il commence à nous reluquer, il a sorti sa bite en pleine forme et nous regarde avec des yeux plein d’envie. Marie France est prête à céder.
    
    — Non ma chérie, lui dis-je, il faut nous préparer, nous avons plein de choses à faire aujourd’hui, il n’a qu’à se branler s’il a trop envie.
    
    Direction la salle de bain. Douche.
    
    — Viens Marie-France, je vais t’épiler le minou.
    
    Elle proteste, pour la forme, mais finit par céder.
    
    Je l’installe confortablement sur une serviette, lui met de la crème dépilatoire sur le pubis, autour de la chatte, je la fais se retourner et lui enduis le tour de l’anus.
    
    Quand tout est sec, je tire sur la pâte, elle pousse un cri de douleur, mais c’est fait.
    
    Je lui montre l’effet devant le miroir.
    
    — Tu vois comme tu es belle, toute lisse, on a envie de te bouffer la chatte.
    
    Au cri que Marie-France avait poussé, Albert s’était précipité derrière la porte. Il s’inquiète de ce qui se passe. Je le rassure.
    
    — Tu veux qu’il vienne voir ta chatte ?
    
    — Oui, mais je veux qu’il t’encule.
    
    — On n’a pas le temps.
    
    — Dis oui, fais-moi plaisir. Pendant qu’il t’encule, je veux que tu me suces la chatte.
    
    — OK.
    
    J’ouvre la porte.
    
    — Regarde ta nana, cette belle petite chatte toute lisse. Elle a quelque chose à te demander.
    
    — Je veux que tu encules ...
    ... Danielle.
    
    Surpris, Albert la regarde, puis se décide
    
    — OK, mais viens me préparer.
    
    Et il lui tend sa bite. Marie-France a compris, elle s’en empare, et entreprend de la sucer pour l’emmener à bonne dimension. Quelques aller-retour suffirent. Albert est si heureux de sentir les lèvres de Marie-France sur sa bite, alors qu’elle a toujours refusé de le sucer, qu’il manque de jouir.
    
    Mais ce n’est pas le but de la manœuvre.
    
    Marie-France s’installe sur la serviette, cuisses largement écartées, elle m’offre sa moule, déjà luisante de mouille.
    
    A genoux, je m’incline sur cette chatte offerte, le cul cambré, les cuisses écartées. J’entreprends de bouffer la moule de Marie-France, ma langue s’insinue dans les replis de son con, lui écartant les lèvres, buvant sa cyprine, je mordille son clito qui bande.
    
    Pendant ce temps, Albert s’est installé derrière moi. Il présente son gland devant ma rosette. Il force un peu, il y a si longtemps qu’il m’a enculé qu’il a un peu de mal à franchir l’anneau. Mon cul cède, et toute la bite m’envahit, me procurant un sentiment de plénitude. Je l’attends depuis longtemps, cette grosse pine, enfin je la retrouve. Albert entreprend de me ramoner les entrailles. Marie-France s’est redressée sur les coudes pour voir mon cul envahi par la bite de son mec. Elle me demande si j’ai mal.
    
    — Oh non, j’adore ma chérie, si tu savais comme c’est bon de se sentir envahit par un tel morceau. La bite de Norbert c’est de la rigolade à côté.
    
    — N’en profite pas pour ...
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