C'est le Pérou !
Datte: 07/11/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
voyage,
noculotte,
Oral
fouetfesse,
Humour
Auteur: Cormobin, Source: Revebebe
... et à me sucer. Elle me sort de sa bouche juste pour me dire :
— Surtout, ne te retiens pas, ne me préviens pas, lâche tout, je gère.
Et effectivement, je jouis assez vite. Elle avale, elle me garde longtemps dans sa bouche. Puis se relève, s’approche de moi, et me fais un bisou très rapide sur les lèvres et, avant que j’ai réagi, file dans la salle de bains, en me disant :
— C’était très bon.
Je la rejoins pour finir de me laver et je lui dis, en souriant :
— Je croyais que tu n’embrassais pas ?
Elle sourit :
— Oui, je sais, mais là, j’en avais envie. Et c’était un tout petit bisou.
Je n’insiste pas. Elle continue, très naturellement :
— Excuse-moi pour le doigt dans le cul. Tu étais très doux, pas de souci, mais en fait, avec Olivier, on essaie depuis quelque temps la sodomie. On ne l’a jamais fait, j’aimerais bien lui faire ce plaisir, et qu’il soit le premier.
— Pas de souci, je comprends, mais pourquoi vous n’y arrivez pas ?
— Je ne sais pas trop, en fait ; ça doit venir de moi. Les rares fois où il a essayé, j’ai eu tout de suite mal, et je lui ai demandé de ne pas insister. Comme il est sympa, il m’écoute. Ce n’est pas un bourrin.
Et elle conclut en riant et en sortant de la salle de bain :
— C’est pour ça que personne ne m’a jamais encore enculée !
Je la rejoins dans le salon :
— Clotilde, on va au restaurant ?
Elle est OK.
— Avec la séance qu’on vient d’avoir, je te propose une leçon 3 très tranquille. Depuis que je ...
... t’ai recrutée, je me suis demandé, enfin, pas tout le temps, mais de temps en temps, si tu portais tout le temps un soutif. Alors ce soir, soirée tranquille, tu te mets en robe, sans rien dessous, comme ça, j’aurai la réponse.
Elle est un peu surprise :
— Tu crois que je peux ?
— Oui, sans souci, que veux-tu qu’il t’arrive ? Il fait bon, il fait nuit, on va au restaurant à deux pas, et je suis avec toi. Allez, va te préparer, et on y va.
Cinq minutes après, on est prêt. Je dis à Clotilde :
— Franchement, avec ta robe, je suis incapable de savoir si tu as un soutif ou pas.
Elle me répond :
— C’est la leçon 3, j’applique l’énoncé, on verra au retour comment j’ai vécu ça. Depuis que j’ai 14 ans, j’ai toujours mis un soutif pour sortir.
Juste avant de passer la porte, je passe une main dans le dos, jusque sur les fesses de Clotilde.
— Dis donc, tu as mis quelque chose ?
— Ben oui, tu ne veux pas que je sorte les fesses à l’air ?
— Si, justement, j’ai dit sans rien dessous. Ta robe, c’est tout. Enfin, les chaussures, c’est OK.
— Tu crois ?
— Mais oui, qui veux-tu qui voies quelque chose ? Il n’y a que nous deux qui savons, c’est tout.
Clotilde ôte son string et me dit :
— Je le prends dans mon sac. Si je suis gênée, je le remettrai en passant aux toilettes.
— Comme tu veux, mais tu sais, le seul risque que je voie, c’est que tu y prennes goût.
Le restaurant est à 10 minutes de marche. Le soleil est caché. Un petit vent. Au bout de 2 minutes, je ...