C'est le Pérou !
Datte: 07/11/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
voyage,
noculotte,
Oral
fouetfesse,
Humour
Auteur: Cormobin, Source: Revebebe
... demande à Clotilde :
— Alors ?
— Alors quoi ?
— Les fesses et la chatte à l’air, c’est comment ?
— Pour l’instant, ça va.
Je passe une main sur sa robe, de haut en bas, et je lui dis :
— En tout cas, pour te caresser, c’est super de ne pas avoir d’obstacle.
Elle sourit. Nous passons un bon moment au restaurant. Sur le chemin du retour, elle me confie :
— Tu as raison, c’est bien. En fait, sur les fesses, par rapport à un string, il y a peu de différence, juste le fil qu’on ne sent pas, et c’est très bien. Par contre, devant, il y a une vraie différence. Et oui, je dois le dire, la chatte à l’air, c’est très agréable. Pas excitant, heureusement, mais très agréable. Du côté de la poitrine, c’est un peu étonnant de se promener sans rien, on sent les seins qui bougent, mais j’ai surtout l’impression que tout le monde peut voir que je n’ai pas de soutif.
— Et ça te gêne ?
— Un peu, je ne veux pas passer pour une vilaine fille.
Je la rassure :
— Clotilde, d’abord, je pense qu’effectivement, les mecs, enfin, c’est mon cas, regardent et savent si une nana a un soutif ou pas. Il y a deux méthodes, regarder comment les seins bougent, et surtout, voir s’il y a une marque, de dos. Après, peu importe, tu n’as vraiment pas l’air vulgaire, donc tout ce qu’on peut en déduire, c’est si tu en as un ou pas. À mon avis, la meilleure solution, c’est de t’en foutre.
— Et pour les tétons ? S’il fait froid, j’ai les tétons qui pointent.
— Et alors ? Toute l’humanité a ...
... des tétons, et un peu plus de la moitié a les tétons qui pointent, de manière plus voyante, quand il fait froid. Il faut désexualiser les seins. Un mec torse nu, tout le monde accepte. Une nana fait pareil et c’est l’émeute. Enfin sauf si elle allaite ou si elle est à Times Square. Marrants ces Américains. Puritains en apparence, très libéraux parfois.
Nous rentrons dans l’appartement :
— Tu es drôle tout de même, tu me dis de ne rien mettre dessous, et tu es capable de dire qu’il faut désexualiser les seins !
— Oui, chère collègue et amie, si j’ose dire, il faut arriver à dissocier biologie et érotisme, mode et érotisme, tout n’est pas érotisme.
— Et ce soir, érotisme ou pas ?
— Non, sauf si tu insistes… Mais maintenant que tu as pris l’habitude, ou presque, tu dors toute nue, et si tu es sage, je te prends dans mes bras pour qu’on s’endorme. Demain sera un autre jour. Mais d’abord, on regarde nos présentations pour demain, vite fait.
Présentations revues, pas de souci. Heureusement, Clotilde a l’air fatiguée. Au bout de deux jours, plus aucune pudeur vis-à-vis de moi, ni de moi vis-à-vis d’elle, d’ailleurs, elle se promène nue pour finir de se préparer pour la nuit. Elle me rejoint au lit. Et au moment où je pose mon polar, et que j’éteins, alors qu’elle me tourne le dos elle se recule, vers moi :
— Tu m’attrapes et, promis, on s’endort. À la rigueur, tu peux me caresser vite fait les seins.
Comment refuser ?
— OK, la chatte aussi ? Et un petit bisou dans ...