1. Le contrat - 2


    Datte: 05/11/2022, Catégories: f, fh, couple, extracon, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation confession, regrets, Auteur: Parisfou, Source: Revebebe

    ... décolleté. J’étais fascinée par mes grands yeux trop maquillés fixant la caméra. Je voyais le sexe dressé et le visage crispé par la douleur, dans l’image incrustée, de me mon mari que j’avais obligé à me filmer et se filmer regardant la scène.
    
    L’image en pause, je pris mon vibromasseur qui était resté caché sous le canapé, retirai le jogging qui me sert de pyjama, et mis mes deux jambes nues écartées sur le bureau. J’enfonçai doucement dans mon vagin ruisselant le bruyant jouet fabriqué en Chine. À chaque fois que je me sentais venir, je le retirais et contemplais l’amant de plastique. À l’écran, l’image de mon décolleté blanc et son collier bleu couvert de sperme entretenaient mon excitation. Je portai même à ma bouche mon vibro, l’embrassant avec fougue et découvrant ainsi, pour la première fois de ma vie, le goût sucré de ma féminité.
    
    Le bruit discret de l’objet interdit fendait seul le silence de la nuit jusqu’à que je perçoive un léger souffle lointain dans mon dos. Je remis alors l’image en « play », tout en continuant à passer doucement mon vibro sur ma chatte poilue. Le souffle se fit plus fort, mais je ne me retournai pas et écartai encore mes jambes posées sur le bureau jusqu’à être proche du grand écart.
    
    À l’image, sur le PC, j’étais maintenant à quatre pattes sur le lit, mon visage tourné vers la caméra et on pouvait apercevoir les mains de Jacques pétrissant mes grosses fesses avec de l’huile parfumée. Mais cette fois, ce n’était plus Jacques dans la ...
    ... pénombre qui haletait derrière moi. Plus le film avançait, plus je faisais aller et venir mon jouet sur ma vallée détrempée. J’étais partie dans un autre monde, seule avec mon image, seule avec mon vibro coulissant entre mes jambes écartelées. Mon mari n’osait pas m’interrompre et devait imaginer que je ne m’étais pas aperçu de sa présence. Je pris à nouveau mon petit amant de plastique et le suçai avec avidité, me délectant de mes sucs intimes qui me rappelaient, en moins sucré, le goût de la gelée de pommes. À l’image, Jacques m’enculait avec fougue. Le son était très bas, mais sa respiration bruyante couvrait pourtant mes halètements enregistrés.
    
    Plus mon amant s’enfonçait en mois, plus je faisais aller et venir mon sexe de plastique et accélérais la cadence. Dans le fond de la pièce, mon mari respirait de plus en bruyamment comme s’il était seul en train de regarder un mauvais film. Je montai le son de la vidéo.
    
    Au moment même où Jacques sortait de mon derrière à l’image, je sentis une large goutte atterrir sur mes cheveux et je laissai échapper un son rauque, presque animal avant de laisser tomber mon joli vibro rose sur le parquet.
    
    Je n’osai me retourner, me contentai de resserrer les jambes avant de les faire passer sous le bureau et de fermer le film de mes ébats adultérins.
    
    Sans quitter l’écran des yeux, de peur de croiser le regard de mon mari, vêtue d’un simple T-shirt en coton, de mon legging, toujours posé à mes pieds près du vibro, j’ouvris le mail où ...