Le contrat - 2
Datte: 05/11/2022,
Catégories:
f,
fh,
couple,
extracon,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
confession,
regrets,
Auteur: Parisfou, Source: Revebebe
... Elles sont restées sur leur faim. Un petit incident dans la vie de couple ne doit pas dégénérer en drame.
Nous n’avons jamais évoqué le passé avec mon mari. Ni son infidélité ni ma vengeance et petit à petit, au fur et à mesure que le quotidien prenait le dessus, mes souvenirs commençaient à s’estomper. Nous avions même repris nos câlins conjugaux. Mais il me manquait le sel, et les étreintes étaient bien pâles.
Au bout de quelques mois, l’hiver passé, je commençai à avoir des insomnies. Parfois, je commençais à mettre ma main entre mes jambes. Il ne se passait rien de bien intéressant pendant cette période, mais j’aimais sentir la chaleur tiède de ma paume entre mes cuisses. Je ne bougeais pas, de peur de réveiller mon époux. La simple chaleur de ce contact innocent me réconfortait.
Au bout de quelques jours, cette petite douceur innocente me gardait éveillée au lieu de m’aider à me rendormir. Je quittais alors discrètement le lit pour rejoindre canapé. Là, sous la couette bleue, devant la télé, mes caresses devenaient plus affirmées. Je laissais mon doigt jouer avec mes poils avant de le mouiller avec ma langue et de frotter mon petit bouton. Mes cuisses fermes écrasaient ma main au point de me faire mal. Je ne pensais à rien de particulier au début. Je me laisser juste entraîner par le plaisir de cet annulaire humide glissant le long de mes lèvres intimes.
De temps en temps, le bout de mes doigts s’insinuait dans ma fente abandonnée, jusqu’à me procurer une ...
... douce jouissance. Si par moment quelques flashes me revenaient à l’esprit, cela restait encore très vague. Souvent, c’était l’image de mon soutien-gorge blanc jeté sur le parquet acajou, parfois celui de ma culotte souillée roulée en boule jetée définitivement dans le sac de vêtements à recycler. Plus rarement encore, celle du drap blanc sur mon visage pendant que mon mari me nettoyait le sexe de sa langue.
Ces petites caresses m’endormaient, somme toute, assez vite et j’attaquais le boulot le matin de meilleure humeur.
Au bureau, quelques images revenaient devant mes yeux. Et chaque appel en WhatsApp de mes copines semblait me projeter dans le passé. J’avais l’impression que c’était mon amant qui m’appelait. Parfois, je prenais mon stylo et le passait sous la jupe de mon tailleur sur le fin tissu qui séparait mes longs poils de l’air climatisé du bureau.
Mercredi dernier, à midi, je n’y tenais plus et je profitai de la pause déjeuner pour aller aux toilettes du trentième étage de la tour où je travaille, à la Défense. Ce genre de toilettes en carrelages blancs et noirs, aseptisées et collectives, rangées côte à côte. Je remontai ma jupe dévoilant mes grosses cuisses avant de faire descendre ma culotte en satin blanc sur mes chevilles. Mais au lieu de faire pipi, je pris mon téléphone et y cherchais quelques-unes des photos envoyées à mon mari.
D’abord celle où je suis debout seins nus, jupe relevée, avec dans chatte avec un stylo profondément enfoncé. Puis celle ...