Jardinage et libertinage (1)
Datte: 03/11/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Roberts, Source: Xstory
... coincer. Lorsque sa main glissa sous l’eau à la recherche de son intimité, deux options s’offrirent à elle : la gifle, ou le baiser. Elle l’embrassa.
— Tu es insatiable, grand fou. Tu viens à peine de sauter mon amie et tu veux remettre ça ?
— Dès que je t’ai vue, j’ai eu envie de toi.
— Et Francine, tu y penses ? C’est mon amie.
— C’est aussi la mienne, mais ce n’est pas ma maîtresse attitrée.
Pendant cet échange, la main de Jean s’était attardée entre les cuisses de Marie-Cécile qui commençait à onduler. Elle-même s’était saisie du pénis de Jean, qui recommençait à prendre tournure.
— J’ai envie de te baiser là, maintenant, tout de suite, ici même, lui souffla-t-il à l’oreille tout en glissant un doigt fureteur dans son anus. Marie-Cécile gémit. Ce type savait exactement ce qu’il fallait faire pour la vaincre. Elle glissa ses jambes autour de ses hanches et s’empala sur lui avec une facilité dérisoire. Jean la percuta comme il avait percuté Francine, mais il sentait qu’il pourrait durer plus longtemps du fait de son éjaculation récente. Le cul de Marie-Cécile l’inspirait. Après plusieurs ruades, qui avaient fait crier sa partenaire, il l’invita à sortir du bain. Elle en émergea en ondulant, sûre de l’attrait de sa croupe qui, de fait, fascinait son nouvel amant.
— Où on va ? lui demanda-t-elle.
— Là, sur le bain-de-soleil. Mets-toi à quatre pattes. J’ai envie de ton ...
... cul.
Et Jean se mit à lui lécher l’anus, qui sentait un peu le chlore, mais s’ouvrit facilement quand il y posa sa bite. Madame n’était pas une réfractaire du petit trou, c’était clair.
— Comment tu sais que j’aime ça ? gémit-elle.
Il répondit en labourant petit à petit son rectum et en possédant pleinement ce somptueux fessier qui se mit à balancer en cadence. Cramponnée au bain-de-soleil, Marie-Cécile ripostait à ses assauts en couinant de plaisir. Et c’est au moment où il lâchait quelques gouttes de sperme, après s’être vraiment surpassé, que Jean entendit la voix de Francine :
— Eh bien, vous ne vous embêtez pas tous les deux. Dès que j’ai le dos tourné, vous forniquez comme des lapins.
Cette fois, ce fut au tour de Marie-Cécile de sursauter. Tout en reprenant un peu de contenance, elle lâcha :
— Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris, Jean est tellement séduisant...
— A qui le dis-tu ? Bon, on ne va pas faire de chichis entre amies, tu as pris ton pied, moi aussi. Mais s’il te plaît, Jean, maintenant, tu t’en vas.
Pendant qu’il se rhabillait, un brin penaud, Jean reçut cinq sur cinq le clin d’œil de Francine. Son plan avait marché à merveille. Les femmes sont décidément machiavéliques en amour, se dit-il. Mais il savait que ce jardin, s’il pouvait ressembler à l’Eden, était aussi farci de pièges. La prochaine fois, se dit-il, je laisserai Francine aller seule à la jardinerie...