Jardinage et libertinage (1)
Datte: 03/11/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Roberts, Source: Xstory
... souffla-t-elle.
Il la saisit sous les fesses et la déposa délicatement son pénis, la laissant en prendre la mesure petit à petit jusqu’à ce qu’elle soit totalement empalée. Elle encercla ses reins de ses jambes et commença à onduler tandis que lui-même opérait un mouvement de bas en haut de plus en plus prononcé. Jetant ses bras autour du cou de son amant, elle se colla à lui en laissant parler ses hanches tout en lui mordant l’épaule.
— Vas-y, plus fort ! gémit-elle.
Il la colla contre le mur du spa et se mit à ruer en elle pour répondre à son attente. Il sentait son sperme monter de ses couilles, mais parvint à le maîtriser afin que sa partenaire puisse atteindre l’orgasme, visiblement de plus en plus proche. De fait, elle cria, la tête en arrière et les jambes étroitement serrées autour des reins de son amant qui se soulagea enfin de l’extrême tension en laissant le sperme jaillir. Francine le libéra et se laissa aller dans l’eau, en extase.
— Mon Dieu quel plaisir ! soupira-t-elle après quelques minutes de récupération. Tu m’as vraiment fait jouir. Embrasse-moi.
— Francine, tu as une façon particulière de jardiner. Tu m’as bien attrapé. Mais tout le plaisir était aussi pour moi.
Ils sortirent du spa, un peu titubants, un peu mous, et s’assirent, nus sous leur serviette, avec l’intention de déguster la tarte tropézienne.
— Alors les amoureux, on a fini ses petites affaires ?
Tous deux sursautèrent violemment. Francine découvrit son amie ...
... Marie-Cécile, complaisamment assise dans le fauteuil du salon.
— Mais qu’est-ce que tu fais là ?
— Ce que je fais ? Tu ne m’avais pas dit de passer te chercher pour aller acheter des pots à la jardinerie ?
Bon sang ! C’était vrai. Elle avait complètement oublié dans la fièvre de sa rencontre avec Jean.
— Mais je n’ai rien entendu ! Tu aurais pu sonner !
— J’ai sonné, mais comme personne venait, j’ai tout simplement ouvert la porte qui n’était pas verrouillée. Je vous ai vu tous les deux dans l’eau. C’était très excitant et j’ai joué les voyeuses, voilà...
Francine pâlit. Marie-Cécile, elle la connaissait bien, elle était adorable, mais elle avait la langue bien pendue. A un moment ou un autre, c’était sûr, Pierre serait au courant de son incartade.
— J’espère que ce que tu as vu restera entre nous...
— Mais bien sûr ma chérie. Au fait, tu ne m’as pas présentée.
— Ah oui, c’est vrai. Marie-Cécile, voici Jean. Jean, Marie-Cécile, une vieille amie.
L’homme serra la main de la plantureuse brune qui lui faisait face et se sentit un peu bête avec sa serviette autour des reins. Autant Francine soignait sa ligne, autant son amie ne pouvait dissimuler son appétit de bonne chère. Son visage lunaire, ses seins larges, son fessier rebondi n’étaient pourtant pas désagréables à regarder. "Je parierais qu’elle aime faire l’amour", se dit-il, considérant que son attitude pendant qu’ils baisaient était révélatrice de son état d’esprit.
— Vous m’excusez deux minutes, je ...