1. Police polissonne (74)


    Datte: 02/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... le phallus imposant, elle prend les boules à deux mains et les malaxe comme elle le ferait avec une boule de pâte à pizza, dont elle s’est fait une certaine réputation. Mais pour l’heure, il s’agit de prendre du plaisir, beaucoup de plaisir, car dans cet hôpital, il n’est donné à tout le monde de se taper un toubib et encore moins un Professeur d’Université.
    
    La Chipie qu’elle est ne se gênera pas pour s’en vanter dans le service, quitte à en rendre jalouses certaines grandes gueules, mais surtout ; tenir sa réputation. Elle redouble d’énergie en suçant, léchant, malaxant couilles et bite. Une inexorable envie de se faire baiser par la bouche lui traverse l’esprit, alors elle enfonce la bite au plus profond de sa gorge. L’homme qui a compris lui prend la tête à deux mains et force, Émilie est au bord de l’étouffement ; mais rien ne rentre. Le praticien abandonne et la tire vers le haut en la tenant par les cheveux.
    
    — Tourne-toi, pose tes mains contre le mur et présente-moi ta chatte.
    
    L’homme l’empale d’un coup sec et vigoureux et il lime à grands coups de reins et de « Han... Han... ! ». Les lourds seins se balancent d’avant en arrière sous les coups de boutoir que lui inflige le chirurgien. Martine observe la scène avec de grands yeux et les doigts dans sa moule dégoulinante de jus en se malaxant les seins et en faisant rouler ses tétons entre ses doigts. Regarder son amie se faire tringler avec force par le Professeur, la rend presque jalouse ; elle a hâte de ...
    ... prendre sa place et de se faire démonter ...
    
    — Allez Martine, prépare-toi...
    
    Elle se place juste à côté de sa copine. Émilie sent en elle venir un orgasme avec la certitude qu’il sera puissant, et c’est le cas ; les spasmes en la transpiration de son corps en sont la preuve. Ses doigts griffent la paroi en toile peinte en y laissant la trace de ses ongles pourtant coupés court. Le front en appui contre le mur, elle s’attrapa les seins et le malaxe, puis elle se presse les tétons toujours aussi durs. Dans son ventre, l’orgasme explose, l’envol des papillons qu’elle aime tant quand elle s’amuse avec Martine ou avec un homme doux et câlin, se transforme en un ouragan de spasmes ; elle crie de plaisir.
    
    Dans cette salle d’attente un peu particulière certes, mais qui n’a d’égal à aucune autre, Martine attend son tour, courbée en deux, les deux mains en appui contre le mur, les jambes bien écartées, le dos cambré et le cul bien en arrière. Quand le sexe du praticien pénètre son antre juvénile, Martine pousse un petit cri de douleur, car la bite est plus imposante qu’elle ne pensait. Émilie observe sa copine et la vue de la taille du mandrin lui rappelle une anecdote entendue sur une station de la radio régionale. Les animateurs rapportent tout un tas de faits plus ou moins humoristiques, ou à la limite de la véracité : l’animateur racontait que dans une université réputée des États-Unis, des chercheurs affirmaient avoir calculé que la quantité de sang contenu dans le sexe en ...
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