Police polissonne (74)
Datte: 02/11/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... terminée, une fois les pansements faits, elle appelle les brancardiers pour qu’ils viennent prendre en charge la patiente et l’emmener en réanimation. Elle y restera plusieurs jours avant de sortir du coma artificiel dans lequel elle a été plongée.
Les deux jeunes femmes et le chirurgien passent au vestiaire pour se changer. Elles enlèvent la combinaison de bloc et se retrouvent nues devant les yeux gourmands du praticien dont le membre grossit à vue d’œil. Il s’avance vers Émilie, et d’un geste vif, il lui met sa main droite autour de sa gorge et la plaque contre la paroi du local. Elle est tout d’abord surprise, puis une véritable excitation l’envahit. À moitié étranglée, elle ressent un véritable plaisir. Le fantasme ancré dans son esprit et qui hante parfois ses nuits : être prise de force, être dominée par un homme beau, puissant et viril. Prisonnière de cet homme, elle ressent une étrange sensation envahir tout son corps qui se remplit de picotements. Ses seins se gonflent et ses tétons deviennent durs comme des pics ; l’homme en touche un et elle ressent comme un éclair parcourir tout son corps.
Arrivée à ce stage, elle sait qu’elle serait capable de faire n’importe quoi, elle pourrait traverser tout l’hôpital, entièrement nue et s’offrir aux SDF qui mendient à l’entrée de l’établissement. Elle ne se maîtrise plus, elle laisse le toubib plonger sa main entre ses. Il sent la cyprine chaude humidifier ses doigts, enfonce deux doigts dans le vagin qu’il ressort ...
... dégoulinant de liquide ; il tend ses doigts à l’AS et dit.
— Suce ! Et toi « la Chipie », tu aimes ce que je suis en train de te faire. Tu aimes aguicher, provoquer le désir chez l’autre, tu es une rebelle et ce que tu veux en ce moment même : c’est que je serre encore plus ma main posée contre ta gorge, tu veux que je te prenne là, contre le mur. Tu aimes les rapports de force, parfois tu veux gagner et parfois perdre puis être prise de force. Alors je vais te prendre, et toi Martine, tu vas regarder en te caressant, et quand j’en aurais fini avec elle ; je m’occuperai de toi, alors sois prête.
Émile est au comble de l’excitation, le toubib a raison, et dans son for intérieur, elle se dit « Humm... J’adore ce qu’il me fait, pourvu qu’il aille encore plus loin ; qu’il me prenne comme ça sans prévenir... »
— Oh oui Docteur... ! s’exclame l’AS en sautillant comme une gamine.
Il desserre sa main, regarde Émilie dans les yeux, il hoche la tête pour obtenir l’approbation de l’IDE qui lui envoie un clignement d’œil d’approbation. Alors il la prend les cheveux et la force à s’agenouiller, elle vient de comprendre qu’elle va devoir sucer le membre du quinquagénaire ; il est juste là devant son nez avec cette odeur de mâle en rut. Elle n’en a pas vu d’aussi beau et majestueux depuis longtemps, elle s’en empare, le caresse du bout des doigts, pour exciter encore plus l’homme sera ; de l’autre main, elle commence à palper les couilles bien rondes et velues. Quand elle embouche ...