1. Une collègue a besoin de réconfort (2)


    Datte: 30/10/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    ... je mettais ma bite en position. Elle poussa rapidement ses fesses pour me faire introduire en elle. Allongés ainsi, elle bougeait son bassin d’avant en arrière pour accompagner ma propre danse. Nous bougions tous les deux, en arrière, en avant, sa chatte laissant échapper de petits bruits de nos ébats. Nous voulions vraiment jouir l’un de l’autre, c’était dingue.
    
    N’en pouvant plus, je me mis à genoux pour la mettre à quatre pattes, mais Célia devait être encore plus excitée que moi. Elle me repoussa pour m’assoir face à elle et se mit rapidement à califourchon sur moi. A peine étais-je assis en tailleur au milieu du lit, qu’elle s’empala d’un coup sur ma bite, chevauchant comme une cavalière débridée. Elle montait et descendait sur moi à vive allure... Elle voulait m’arracher son plaisir. C’était comme la première fois que nous l’avions fait.
    
    Je sentis sa chatte brûlante se contracter et recouvrir ma queue de ses spasmes. Que c’était bon... On s’est allongés l’un à côté de l’autre. Au bout de plusieurs minutes, nous avons fini par nous endormir.
    
    Finalement, nous n’avions même pas mangé le dîner que j’avais préparé. Nous étions passés immédiatement au dessert...
    
    Je pensais avoir eu mon compte. Mais ça faisait un mois qu’on n’avait pas eu de parties de jambes en l’air. Je me suis réveillé au milieu de la nuit. Je bandais à nouveau dur comme fer. J’avais encore envie de Célia...
    
    Merde... Elle dormait. Que faire ? Rester ainsi ?
    
    Sur le réveil, je voyais les ...
    ... minutes défiler. Mon sexe se détendait. Je pensais pouvoir enfin me rendormir. Célia se retourna vers moi.
    
    Elle dormait, mais le souffle chaud de sa respiration sur mon épaule me fit frissonner. Ma queue se tendit instantanément... J’avais vraiment encore envie de Célia... Mais je n’osais pas la réveiller. Je commençais à me caresser le bout du gland en me disant que je pourrais me calmer moi-même.
    
    Le souffle de Célia continuait à me toucher. Je me mis sur le côté pour la caresser. Les fesses, les cuisses... Je me disais qu’en faisant ça, je pourrais la réveiller tout doucement.
    
    Rapidement, voyant qu’elle dormait malgré les caresses, je pris mon courage à deux mains et attrapais une de ses jambes pour l’écarter, et me donner accès à sa chatte que je caressais immédiatement. Elle mouilla assez vite, à ma grande surprise. Je la doigtais, doucement, puis vigoureusement. Elle se mit sur le dos et écartait les cuisses.
    
    Je ne savais pas si elle dormait encore. Mais en tout cas, elle m’ouvrait l’accès. Et ma queue palpitait trop pour que je m’arrête. Je voulais encore m’introduire en elle, la pénétrer, sentir sa chatte sur ma bite, il le fallait.
    
    Alors, sans scrupules, je me suis mis au-dessus d’elle pour la prendre en missionnaire. J’entamais de lents va-et-vient, je me sentais bien en elle. Malgré l’obscurité, je vis que ses yeux s’ouvraient. Un mince rayon de lumière venant des lampadaires de la rue donnait un peu de visibilité dans la chambre. Elle se réveillait avec ...
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