1. Une collègue a besoin de réconfort (2)


    Datte: 30/10/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    Dans les semaines qui suivirent, Célia était passée plusieurs fois chez moi. Elle profitait soit que ses enfants soient gardés chez leurs grands-parents, soit que son mari gardait les enfants le soir.
    
    En fait, on partait parfois plus tôt du boulot pour se retrouver chez moi. Elle prétendait à celui qui l’avait fait cocue qu’elle devait travailler un peu plus tard. Les soirs où elle rentrait directement chez elle, c’est lui qui « travaillait » plus tard.
    
    Célia n’était pas dupe et je n’étais pas mécontent qu’elle se serve de moi pour compenser l’absence de son mari. Elle m’avait rapidement proposé qu’on « baptise » chaque pièce de ma nouvelle maison. Nous avons donc (l’un dans l’autre) honoré toutes les pièces assez rapidement et avec beaucoup (mais alors beaucoup !) d’entrain.
    
    Au boulot, personne ne se doutait de rien. Nous nous forcions à ne rien laisser transparaitre. Juste quelques remarques sur le fait que Célia avait retrouvé le sourire. Adrien m’en avait rapidement fait le compliment :
    
    — bon, ça n’était pas une mauvaise idée de vous laisser tous les deux ? C’est bien qu’elle ait retrouvé le sourire ! me dit-il.
    
    — Comment tu as fait ?
    
    — On a discuté un peu...
    
    — Oui, oui... vous avez discuté... (il le dit en se caressant la barbe) Rien d’autre ?... Mouais... Elle était comment cette discussion ? Vous étiez l’un à côté de l’autre ? L’un sur l’autre ?....
    
    Puis Adrien éclata de rire.
    
    J’avais un peu peur qu’il découvre la vérité, mais je ne voulais ...
    ... pas lui mentir, alors je me suis risqué : « en fait, si tu veux tout savoir, nous étions l’un dans l’autre... ».
    
    Adrien me regarda les yeux grands ouverts, se demandant s’il devait me croire. Puis, il pouffa de rire et me lança : « petit salaud... ça t’aurait plu hein ?... Bon en tout cas, c’est super que ça aille mieux... On se retrouve samedi prochain pour le déjeuner traditionnel ? ».
    
    Je lui répondis que oui. Alors qu’il s’éloignait pour rejoindre son bureau, je me suis dit que j’avais pris un risque en lui avouant pour Célia. Mais il ne m’avait pas cru. C’était impensable. Et pourtant...
    
    Au bout d’un mois, il se passa plusieurs jours sans qu’on puisse se voir chez moi pour assouvir nos envies. D’ailleurs, on a passé ce temps sans se voir en dehors du travail. Déception...
    
    En fait, son mari s’absentait un peu moins ces dernières semaines... Merde...
    
    Un mois plus tard, toujours la privation : c’était beaucoup. Surtout que de temps à autre, nous profitions d’être isolés au travail pour échanger un baiser, un câlin, des caresses. Nous essayions parfois de nous retrouver dans le local des archives.
    
    J’avais tellement envie de Célia... de sa bouche sucrée... Envie de tâter ses seins galbés, ses fesses rebondies, ses cuisses fermes... Et retourner dans sa chatte moelleuse, chaleureuse, ardente, humide...
    
    Elle aussi avait envie. Du moins, c’est ce que je déduisais d’après ses caresses et son regard.
    
    Un jour, nous avons failli passer à l’acte à force de nous ...
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