1. Une collègue a besoin de réconfort (2)


    Datte: 30/10/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    ... mon tour pour la rejoindre. Je m’approchais du lit, elle s’était cachée sous la couverture. Seul le haut de sa tête avec ses yeux pétillants dépassait. « Viens me chercher », dit-elle dans un rire éclatant. Elle semblait tellement heureuse et excitée...
    
    Je me suis mis à genoux pour entrer sous la couverture au niveau de ses jambes. Une fois sous la couverture, je remontais entre ses cuisses pour prendre sa petite chatte dégoulinante en bouche. Je lui bouffais la chatte, enfonçant ma langue aussi profondément que possible. Voilà un mois qu’on n’avait pas baisé, je la voulais... Je voulais être en elle à nouveau... Son fourreau m’avait trop manqué... Je bandais tellement dur. Célia enleva la couverture pour me découvrir, me regarder et me parler.
    
    — Ah... Chouchou... mmm... Tu m’as manqué... Ah lalala merde... On est pas sérieux... Ah lalala... Tu n’es pas sage...
    
    J’interrompais le cunni : « J’ai envie de toi Célia... » Puis je repris plus intensément. Léchant les parois de sa chatte avec gourmandise.
    
    — Je sais chouchou... mmm... Ah lalala... Moi aussi....
    
    Je m’interrompis à nouveau.
    
    — Tu veux que je te fasse l’amour ?
    
    — Ah lalala... Coquin... Je te l’ai dit...
    
    — Dis-le-moi encore...
    
    — Ah lalala... Toi alors... Oui... Chouchou : fais-moi l’amour....
    
    Alors je me mis au-dessus d’elle. Et tout en l’embrassant à pleine bouche, je remontais ses cuisses contre son ventre, laissant ses jambes contre mes épaules. J’approchais mon gland à l’entrée de sa ...
    ... fente. Je m’apprêtais à entrer tout doucement en savourant les retrouvailles de nos sexes. Elle avait dû comprendre que je cherchais à la faire languir, parce qu’elle a souri en posant immédiatement ses mains sur mes fesses pour m’attirer en elle.
    
    Alors je me suis introduit d’un coup et me suis mis à la pilonner à fond, à toute vitesse. Je n’en pouvais plus... Un mois sans être en elle, c’était une éternité... Je prenais du plaisir à ramoner sa chatte : douce, chaude et humide. Je ralentis un peu pour écarter un peu ses cuisses et m’amuser à essayer d’entrer en elle depuis différents angles pour que ma queue tape toutes les parois internes de ce fourreau ardent. Puis, je repris des coups de boutoir lents, mais brusques, pour aller aussi profondément que possible.
    
    Célia, les yeux fermés, mais la bouche ouverte, souriante et haletante, m’entoura de ses bras et ses jambes autour de moi, comme un koala, comme pour m’encourager à continuer. Je me mis à la pistonner en cadence régulière. Le traitement ne dura pas et je lâchais ma semence en elle dans des spasmes incontrôlables.
    
    Ma partenaire souriait toujours et me caressait la nuque tout en m’embrassant.
    
    Nous avons continué quelques câlins et je sentais après quelques minutes que je retrouvais de la vigueur.
    
    — Ah ? Chouchou ? Tu es de retour ?
    
    Dit-elle, pleine d’entrain et de joie.
    
    Je ne lui répondis pas, je me plaçais derrière elle en cuillère. Pendant que d’une main, je chatouillais son entrejambe, de l’autre, ...
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