Une collègue a besoin de réconfort (2)
Datte: 30/10/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory
... exciter mutuellement. Une collègue nous a interrompus en entrant et ouvrant la porte des archives en trombe. Elle se précipitait et posa une pile de documents sur la seule table de la pièce. Nous avions à peine eu le temps de réajuster nos vêtements qu’elle nous remarqua.
Elle demanda ce que nous cherchions. Ne sachant pas quoi répondre (car nous ne cherchions rien qui concernait le boulot) risquant le tout pour le tout, je répondis que Célia et moi nous nous isolions pour un cinq à sept. La collègue éclata de rire. Puis nous avons plaisanté.
Nous l’avons échappé belle... Encore une qui ne croit pas la situation possible...
Puis, vint enfin une bonne nouvelle. Célia avait pu inscrire ses enfants en colonie de vacances. Elle pensait profiter de ce moment pour confronter son mari et éventuellement se rabibocher.
Mais cela ne se passa pas comme elle se l’était imaginée... Son mari la devança et affirma qu’il devait partir deux semaines loin pour son boulot... Il avait été vague et approximatif. Du coup, il n’avait pas convaincu Célia...
Elle m’en parla et libéra sa colère... « Quel salaud... Quel salaud alors ! Tu te rends compte chouchou ? Il n’a pas vu sa pouffe pendant un mois, et au lieu de larguer cette petite pute, il profite que les enfants soient en colonie pour la retrouver ! Merde alors ! »
J’étais triste pour elle. Mais bien évidemment, j’étais content pour moi... Et je l’invitais à venir chez moi pendant les deux prochaines semaines. Elle réfléchit ...
... un moment en cachant sa bouche derrière une de ses mains. Malgré le fait que l’on se caressait et se câlinait de temps à autre, elle n’osait pas reprendre nos activités sexuelles mises en suspens depuis un mois.
Elle finit par accepter, en posant ses conditions : « d’accord chouchou, mais on sera sage d’accord ? Pas de bêtises ? ». Me dit-elle en pointant l’index devant mon visage avec un demi-sourire.
Je hochais la tête pour faire mine d’accepter... Intérieurement, j’espérais tellement que l’on fasse un maximum de bêtises...
Le samedi suivant, je participais au déjeuner traditionnel avec mes collègues. Ils me charrièrent encore sur Célia. Moi je souriais, pas comme ils le pensaient pour rire de leurs blagues, mais parce que je m’imaginais leur tête s’ils savaient la vérité.
En fin d’après-midi, j’étais retourné chez moi et avait préparé un petit repas romantique. Des bougies, des fleurs... Célia est fleur bleue, je pensais donc pouvoir lui faire changer d’avis pour qu’on ne soit pas trop sages...
A peine arrivée, elle abandonna sa petite valise dans le salon et se jeta dans mes bras. Nous nous câlinions. Je couvrais son visage de doux baisers, et commençais à lui caresser les bras, et tentais de descendre vers son dos et ses fesses.
— Dis donc chouchou ? C’est ça être sage ?
Célia m’attrapa aux poignets pour m’arrêter.
— Ce n’est pas ma faute... Tu es tellement belle... J’ai envie de toi...
— Je sais chouchou... Mais on va être sage... Viens, on va ...