Complicité perverse. (1)
Datte: 25/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: solstice, Source: Xstory
... passionnément. Elle finit par les faire éjaculer et là voilà en train d’avaler le plus possible la semence de ces deux intrus. Mais elle n’arriva pas à contrôler le jet du second. Elle avait du sperme plein le visage. Peu importait, on l’aida à se relever et cette fois, le chauve l’enlaça et l’entraîna vers la chambre parentale.
Une grosse frustration m’envahit, car je ne pouvais assister au reste.
Il fut suivi par ses deux compères et le barbu. Ils allaient la prendre à quatre dans la propre chambre de mes parents. Pendant une longue heure, ils allaient se relayer pour la baiser comme il se devait. Je pouvais largement entendre les cris de bonheur de ma « tendre maman », si tendre qu’elle se sentait obligée de donner de l’amour à de parfaits inconnus. Mais ne soyons pas dupes, au vu des cris et des râles qu’elle émettait, on ne peut pas dire que pour elle, ce fut un grand sacrifice, bien au contraire. J’essayais d’imaginer la scène: se relayaient-ils ? La câlinaient-ils ensemble ? Le fait est qu’ils finirent par partir. Seul le barbu resta avec Maria. J’eus l’impression qu’ils flirtaient. Elle eut le temps de se passer un peu d’eau sur le visage. C’était bizarre de le voir habillé et elle complètement nue. Il était plus grand qu’elle, la dominait. Elle semblait amoureuse vu son bonheur à être avec lui. Ils s’embrassèrent une dernière fois et il partit sur sa moto. Elle resta derrière la porte, à poil dans ses pensées.
Elle avait l’air de regretter d’avoir baisé ...
... avec les deux intrus, mais elle l’avait fait.
Elle s’était fait prendre par les quatre bikers dans la chambre où elle couchée avec son mari. Ça l’avait horriblement excitée au début, mais maintenant, elle avait honte. Ah, si la famille savait. Elle referma la porte. Fin du « porno-live avec maman ». Le lendemain, j’étais crevé. On était jeudi. J’allai aux courses et je fus à deux doigts de croiser ma mère. Elle semblait en forme avec ses paniers pour le marché. Elle semblait même être heureuse. Elle était habillée d’une longue robe orange. Un petit décolleté sans plus. Elle s’était fait son chignon traditionnel et porte des lunettes de soleil. Impossible de reconnaître la femme d’hier soir. Cela me fit un drôle d’effet de la voir comme ça: la voir redevenir « normale ». Je décidai de retourner au camping flâner. L’heure approchait. Un quatrième adultère ? En quatre jours ? : pourquoi pas. Et ça ne loupa pas. Sauf que cette fois, j’arrivai en retard. Le barbu était déjà là, il était seul avec elle.
La robe orange froissée en plein milieu du salon. Ils devaient être dans la chambre parentale en train de baiser, et les cris de Maria le prouvaient.
Mais là, un événement inattendu se produisit : je reçus un SMS de mon père. Normalement, il rentrait pour un long week-end tous les 15 jours le vendredi soir, mais là, exceptionnellement, le voici qui arrivait dans une dizaine de minutes pour faire une surprise à ma mère. Il me dit compter sur moi pour ce week-end, car il savait ...