1. Complicité perverse. (1)


    Datte: 25/10/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: solstice, Source: Xstory

    ... tout foutre en l’air. Je tenais à la cohésion familiale et j’adorais trop ma mère pour lui faire ça. Et puis il y avait cette curiosité malsaine envers ses actes.
    
    Je décidais donc le lendemain de retourner une petite heure avant qu’hier, je découvre le pot au rose.
    
    En arrivant, pas de moto, juste sa Clio bleue. Vingt minutes plus tard, j’entends un bruit de moteur. C’est le barbu: cette fois, il est seul. Il se gare, laisse tourner la moto et se dirige vers la porte. Il n’a pas le temps de sonner, ma mère ouvre. Elle porte une robe d’été très légère. Un décolleté monstrueux. Le barbu lui tend le casque qu’elle met avec difficulté. Il en profite pour lui tâter les nichons à travers le fin tissu. Ils enfourchent la moto et les voilà partis. Ils ne reviendront que bien plus tard dans la nuit, je suppose, car je n’ai pas eu la patience de rester planté, caché devant la maison. J’ai bien imaginé les deux s’envoyer en l’air. Le lendemain, j’étais encore plus excité. Allait-elle commettre un troisième adultère trois jours d’affilée. La réponse fut très abrupte. J’arrivais à la même heure qu’hier, mais là, deux grosses motos étaient à nouveau garées près de la Clio bleue. Il y avait le chauve et le barbu dans le salon, une bière à la main.
    
    Ma mère les rejoignit à poil, tout excitée.
    
    On la croyait rajeunie. Elle sautillait presque. Ses gros seins se secouaient à la vue des deux motards intéressés. Il y avait aussi ses cheveux ondulés qui dansaient au niveau de ses ...
    ... épaules. Le chauve la prit dans ses bras malgré les deux « airs bags » puis lui caressèrent les cuisses passant par les fesses pour s’orienter vers son sexe. Maria apprécia et se mit à mouiller. Délicatement, le chauve l’allongea sur le beau tapis du salon et lui écarta les cuisses. Il se it à la lécher sous le regard approbateur et pervers du barbu. Ma mère se cambra, se tortilla de plaisir. La langue du quadragénaire était habile. A ce moment même, j’entendis un bruit de moteur plus exactement de deux. J’eus juste le temps de me planquer. Deux autres motards se garèrent à côté des deux motos et de la Clio. Ils rentrèrent sans sonner. Ils étaient énormes. Le barbu alla à leur rencontre. Ma mère fut surprise de cette intrusion et essaya de protester, mais le chauve la maintint au sol.
    
    Il était gêné par la grosse poitrine de sa partenaire qui semblait furieuse.
    
    Elle arriva à le repousser et se leva. Visiblement, les deux gros motards n’étaient pas prévus au programme. Le chauve lui attrapa les bras et les bloqua en arrière tandis que les deux gros bikers baissaient leurs pantalons. Je sortis mon portable, prêt à appeler le 17: hors de question de laisser ma mère se faire violer. Mais là, le barbu ordonna au chauve de la lâcher puis chuchota quelque chose à ma mère, pas contente. Elle protesta un peu et le barbu insista. Il la prit dans ses bras puis l’embrassa. Ma mère semblait conquise et se mit à genoux. Les deux bikers se firent sucer de façon magistrale. Maria s’appliqua ...