1. Complicité perverse. (1)


    Datte: 25/10/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: solstice, Source: Xstory

    Tout commença par une journée caniculaire du mois de juin. J’avais dû écourter mes vacances d’une semaine suite à une mauvaise gestion de ma porte-feuille. J’étais un peu frustré d’avoir dû abandonner mes potes au camping, mais nos virées en boîtes et autres avaient eu raison de mes économies. Ma copine me quitta aussitôt pour se mettre avec un blondinet aux poches remplies de pognons, et moi, je fus obligé de revenir chez mes parents, un peu dégoûté, mais la tête remplie de bons souvenirs. Suite à une bonne demi-journée de covoiturage harassant sous le soleil (pas de clim), j’arrivai à bon port. Je marchais, l’esprit serein, direction la maison parentale: lieu sécurisé et apaisant. Elle était en plus un peu à l’écart du gros pâté de maison d’à côté. Plus j’avançais, plus j’étais apaisé. J’allais voir ma mère, souriante et aimante. Mon père en fin de semaine, car travaillant à l’étranger.
    
    En franchissant le portail blanc grand ouvert, quelque chose m’interpella: à côté de la Clio bleue de ma mère, deux grosses motos que je ne connaissais pas.
    
    Je décidai alors d’avancer prudemment pour voir à travers la fenêtre du salon. Ce que je vis alors me stupéfia. En effet, au milieu du salon, se tenait une femme voluptueuse aux cheveux noirs. Elle était nue, juste un bracelet doré autour de sa cheville et à quatre pattes. Ses seins étaient si gros qu’on aurait dit qu’ils allaient toucher le sol. Un homme chauve d’environ 1m75 arriva par derrière, lui saisit les hanches et la prit ...
    ... en levrette. La femme se mit à gémir de plaisir et sa grosse poitrine se mit à se balancer au rythme de la pénétration. La scène ressemblait à une sorte de film porno en live. La femme n’avait rien d’une Bimbo siliconée, mais restait néanmoins désirable et avait surtout deux énormes atouts cent pour cent naturels. J’aurais aimé voir son visage, mais elle était de profil et ses cheveux ondulés masquaient en partie son visage. En tout cas, à la voir en action, on aurait dit une sacrée professionnelle.
    
    Elle prenait vraiment du plaisir à se faire prendre de la sorte.
    
    C’était brut, sans tendresse, juste un mâle prenant une femelle en chaleur. Après quelques allers-retours brutaux, l’homme finit par éjaculer tout en grognant de plaisir. La dame fit de même, ravie de sentir la semence se rependre en elle. Il se retira lentement d’elle. La femme aux cheveux noirs se releva lentement puis regarda en face d’elle. Elle parla à un autre homme qui arriva. Cette voix, je la reconnus aussitôt, mais ce ne pouvait pas être possible, pas elle. Le deuxième homme, un grand barbu d’une trentaine d’années s’approcha et lui caressa les seins. Je faillis défaillir à la vue du visage de cette femme qui souillait la maison familiale. Oui, cette femme je ne la connaissais que trop bien, mais je ne pouvais l’admettre. C’était la femme que j’adorais le plus au monde, que je croyais vertueuse et sans défaut. C’était la femme qui m’avait consolé, allaité et mis au monde. Oui, cette femme, c’était ma ...
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