1. Les amants du crépuscule


    Datte: 25/10/2022, Catégories: fh, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, caresses, pénétratio, confession, rencontre, amouroman, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... cherchais. Je te désirais avant même de t’avoir vu. J’ai envie de toi. Besoin de toi. Je te veux depuis toujours. Je te veux maintenant.
    
    Elle écarte son visage, le fixe avec une gravité folle. Personne ne l’a jamais regardé avec une telle intensité, une telle urgence. Elle incline la tête, ses lèvres s’entrouvrent, s’approchent avec lenteur, elle les pose, paupières closes, et ce baiser dont il rêvait explose, fruité, langoureux, interminable, leurs langues ouvrent le bal, dansent ensemble, elles tournent et se caressent, se mêlent avec avidité, encore et encore. Quand ils se résolvent à lâcher prise, ils se regardent en silence, et le silence est éloquent.
    
    — Au fait, pour mon prénom… Appelle-moi plutôt Galatée.
    
    Il est gagné par le vertige. Elle s’est emparée de sa verge, elle en enserre la hampe, la branle d’une main à la fois ferme et douce, sans le quitter des yeux. Satisfaite de la sentir vigoureuse, férocement dressée, elle place les mains de l’homme sous ses fesses, noue les siennes dans son dos, comme une invitation explicite à la hisser contre lui. La voilà au plus près, enserrant Léo de ses jambes fuselées. Il savoure alors la fraîcheur de son haleine, les petits coups de ses lèvres qui picorent les siennes, le savant parcours qu’elle trace sur son torse de ses tétons durcis, le contact émouvant de la vulve entrouverte contre sa queue raide. Dieu que cette fille est belle, entêtante, musicale, ensorcelante, inouïe…
    
    — À présent, c’est à ton tour, ...
    ... sculpte mon corps comme tu sais si bien le faire.
    
    Il se fige.
    
    — Comment le sais-tu ? Qui aujourd’hui s’intéresse-t-il encore à mon art ? Seuls quelques collectionneurs éclairés connaissent mon nom, admirent mon travail. Ma renommée sera tardive, sans doute posthume.
    — Je le sais, voilà tout. Et tu as raison. La postérité te rendra hommage. Mais je n’aurai pas sa patience.
    
    Alors elle quitte brusquement cette position qu’il jugeait si prometteuse, il proteste, elle se met à rire, le provoque, l’invite à la poursuivre alors qu’elle s’enfuit nue, courant à travers tout l’appartement, elle se cache, pousse de petits cris d’effroi chaque fois qu’il parvient presque à la saisir, se dérobe, se sauve à nouveau. Quand il parvient à la ceinturer, elle se débat comme une diablesse, et ne finit par se rendre qu’en échange d’un nouveau baiser langoureux.« Mais je refuse d’être sage », ajoute-t-elle aussitôt en le poussant dans le canapé où elle l’agresse de chatouilles. L’amour est joyeux, lui avait-elle dit, elle tient à le prouver, elle y met un entrain presque suspect. La suite est charmante, rieuse, une fête païenne : elle est enjouée, mutine, il en est étourdi. Après avoir déshabillé la poupée sage, l’envie leur vient de jouer au docteur, et l’infirmière est aux petits soins.
    
    L’infirmière ou plutôt la jolie sirène : elle vient le surplomber, laisse flotter ses appas à portée de bouche, ils sont si tentants, si taquins aussi, faisant mine de s’échapper à chaque tentative du ...
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