Amour et soumissions (2)
Datte: 24/10/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: mastered, Source: Xstory
... plaise ou non.
Arrivé à sa voiture, voyant que nous étions à côté de la mienne, je décidai de la prendre par confort.
« Monte » dis-je en me mettant au volant. Elle regardait la voiture pendant un instant et s’exécuta.
« Donne-moi ton adresse et branle moi » Elle m’indiqua le chemin tout en sortant mon sexe bandé et commença à me masturber.
Elle n’était pas très douée mais ça faisait l’affaire. Elle n’osait pas regarder ce qu’elle était en train de faire. Je ne doutai pas que dans sa tête tout doive se mélanger. Comment en était elle arrivait à branler un quasi-inconnu dans sa voiture sans rechigner ? Le combat intérieur qu’elle menait la distrayait de sa tâche et cela commencé sérieusement à m’énerver. Heureusement, nous arrivions à l’adresse. Je m’arrêtai dans un coin tranquille. Je n’avais pas l’intention d’être aimable après cette branlette qui m’avait plus frustré qu’autre chose. Je descendis de la voiture, allai de son côté, ouvris la portière et la sortie par le bras. Je la plaquai, buste contre la vitre, remontai sa robe. Juste des bas autos fixants couleur chair.
« Pas de culotte, je le savais que tu étais une salope, dis-je en lui mettant deux doigts de la chatte. Maintenant, je vais te baiser puisque tu n’es pas foutu de me branler correctement. »
Je ne lui laissai pas le temps de répondre et la pénétrai. Je la défonçais. Elle était trempée. Je ne cherchai absolument pas à lui donner du plaisir. Je voulais mon plaisir. Ma délivrance. Qu’elle y ...
... prenne du plaisir en même temps, ça ne changeait rien. Je ne savais même où nous étions exactement. Je connaissais pas du tout le coin mais je lui déchirai sa robe. Elle se retrouvait en soutien-gorge, bas et talon. Dehors, la lumière du Soleil éclairait encore. Elle mouillait abondamment. Plus je tapai fort, plus elle mouillait au point de gicler sur mon pantalon à chaque coup de bassin. Je sentais que j’allais venir. Hors de question de me finir en elle. Elle ne méritait pas ma semence.
« À genoux chienne, je vais te gicler sur la gueule. » Dis-je en me retirant.
J’appuyai sur son épaule. J’enlevai la capote et me masturbai jusqu’à lui gicler dessus. J’aimai marquer mon territoire. Je me sentais soulagé. Je la poussai pour m’assoir et souffler cinq minutes. J’aimai ce moment. Quand elles sont à mes pieds, alors que je ne faisais rien d’autre qu’être totalement égoïste et qu’elles me regardaient tout de même comme si j’étais parfait. Je fouillai dans son sac, pris son téléphone et notai mon numéro.
« Ne m’appelle que pour me vider les burnes » dis-je en lui jetant ses affaires dessus.
Je répartis sans un mot de plus en la laissant là, par terre, nue, souillée, humiliée, sonnée par le plaisir qu’elle avait pris. J’étais satisfait.
Je revenais à mes pensées. La journée s’enchaînait. L’heure de notre première rencontre avec le sujet de mon histoire approchée. J’étais confiant. Confiant dans l’image que je renvoyai. Confiant dans ma stature. Je savais, et ce en toute ...