Amour et soumissions (2)
Datte: 24/10/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: mastered, Source: Xstory
... pile à l’endroit où elle se trouvait. Je regardai, pas de fuite ou de goutte qui tombe. Par curiosité, j’y trempai les doigts et les portai à mon nez. Cette odeur, je la connaissais bien. Elle avait trempé le sol d’excitation. La tâche n’était pas grande mais elle ne portait certainement rien en dessous de sa robe et devait être dans un état second. Je me rendis compte que j’avais oublié de lui rendre ses papiers. Je l’appelai :
«C’est votre conseiller au téléphone, vous avez oublié vos papiers.
— Ah ! mince. Je vais venir les récupérer tout de... » je lui coupai la parole.
« Non, venez à 17h et attendez-moi sur le parking. Je viendrais vous rejoindre. J’aurai fini ma journée. » Je raccrochai sans lui lancer le temps d’ajouter un mot.
Malgré mon ton impérieux, je savais que je ne prenais pas de risque. D’une part aux vues de son état actuel, sur lequel je n’avais absolument aucun doute, qui lui ferait faire n’importe quoi. Une femme excitait n’est pas mieux lotie qu’un homme. Le cerveau reptilien prend le dessus et il ne réfléchit que par instinct. Il lui avait fait comprendre qu’elle avait rencontré un mâle satisfaisant et son corps avait réagi par instinct en la préparant à être possédée. D’autre part, je ne m’intéressai absolument pas à elle. Si elle décidait finalement de ne pas se plier à mon exigence, elle viendrait simplement récupérer ses papiers maintenant et ça ne me ferait ni chaud ni froid. Elle allait devenir un de mes kleenex ou disparaître et dans ...
... les deux cas je serai satisfait. Je poussai simplement mon avantage. Si cette chienne n’avait pas taché mon parquet je l’aurais laissé filer mais le prédateur en moi savait qu’il devait profiter de la situation.
À dix-sept heures, elle était là. Elle rougit quand elle me vit. Je souris. Je lui souriais toutes crocs dehors. Je m’approchai d’elle, lui donnait ses papiers et me pencha à son oreille :
« Alors je t’excite au point de tacher le parquet, elle devenait cramoisie.
— Je... Ne me parlez pas comme ça, ». Dit-elle sans assurance. Je souriais. J’allais la dévorer.
« Tu ne nies pas, je mettais ma main sur sa hanche. Tu vas marcher jusqu’à ta voiture et nous allons aller chez toi.
— Je, elle avala sa salive, je ne peux pas.
— Est-ce tu penseé avoir le choix, ma main, qui était passée sur sa fesse, effectua une pression. Je n’en ai pas l’impression.
— Mes parents, elle ne parlait plus que dans un souffle saccadé, vivons ensemble, pas possible.
— Va à ta voiture » Elle passa devant moi.
Elle marchait en silence n’osant regarder derrière elle. J’en profitai pour détailler mon repas. Comme je le disais une taille fine, des hanches larges, des fesses qui finalement, en prenant le temps de l’observer, il n’était pas trop gros. Juste proportionnelle au reste et surtout par des marques de sous-vêtement. Le reste ne m’intéressait pas, je n’avais pas l’intention de l’épouser. Ce soir-là c’était l’excitation qui parlait. J’allais me vider en elle que ça lui ...