1. Nymphomane moi ? Tome I (1)


    Datte: 23/10/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... la vitre de la portière, en me penchant que le haut de ma robe s’entrebâillait suffisamment pour laisser apparaître, mes deux seins soutenus par le demi-soutien-gorge noir. Je fis la moue et déboutonnais le dernier bouton du haut. Une légère brise écarta les pans de ma robe, dévoilant mes bas noirs et les attaches du porte-jarretelles en dentelle noire, ainsi qu’un bout de peau nue au-dessus des bas. Satisfaite de mon examen, je grimpais les cinq marches du hangar et poussais la porte.
    
    Le vieux paysan m’avait vue arriver et de derrière la fenêtre qui surplombait exactement la voiture, n’avait rien perdu de la scène, il se précipita à ma rencontre.
    
    — Bonjour, jolie demoiselle, vous êtes en avance aujourd’hui. Mais vous êtes toujours la bienvenue dans mon petit magasin.
    
    — Oui, et je vous remercie de votre accueil, je lorgnais sur son entrejambe, il bandait.
    
    — Il fait chaud aujourd’hui, il vaut mieux être habillé légèrement !
    
    — J’ai retiré le superflu, dis-je en riant.
    
    Lors de mes précédentes visites, je m’étais aperçue que j’étais loin de le laisser indifférent sur le plan physique. Malgré son âge avancé, il semblait doté d’un sexe assez gros, du moins le subodorai-je, vu la bosse qui se profilait sous son pantalon, lorsqu’il était aguiché. J’avais dû m’avouer que sa grosse bite m’excitait au plus haut point, et me faisait fantasmer, lui était laid comme un pou. Ma libido était exacerbée, car il m’avait déjà fait quelques réflexions assez salaces. J’allais à ...
    ... mon tour jouer le jeu de la séduction et on verrait bien ce qui arriverait...
    
    Étant pour l’instant sa seule cliente, le vieux émoustillé par ce qu’il avait vu lorsque j’étais descendue de la voiture, ne me quittait pas d’une semelle, me tournant autour, me frôlant, pour me vanter les mérites de ses légumes, il osait des comparaisons assez osées.
    
    — Vous avez vu mes légumes ? Ils sont frais et verts comme moi. Regardez la barbe de ces poireaux, elle est aussi fournie que ma toison pubienne, et ces œufs de cailles, ils sont aussi gros que mes testicules ! Je vois que vous souriez, vous ne me croyez pas. Vous voulez voir ?
    
    Profitant qu’il se mit en face de moi, je me penchais savamment sur un étalage, le haut de ma robe s’écarta laissant apparaître, sciemment, mes deux seins sortant de leur écrin.
    
    — Oui, je vois très bien ce que vous voulez dire et je n’en doute pas ! Me donnez-vous la permission de tripoter votre marchandise ? Mais pour cela, il faut peut-être vous montrer patte blanche, lui dis-je, me penchant encore un peu.
    
    Le regard du paysan plongea dans le décolleté offert, je sentis les yeux envelopper mes courbes gracieuses, malgré moi, mes seins se raffermirent, mes aréoles se hérissèrent, mes tétons durcirent et s’allongèrent, je restais penchée pour bien lui faire profiter du spectacle magnifique. Il eut l’air changé en statue, ne pouvant pas détacher son regard. Je me penchais encore un peu, la robe bailla encore, et sa vue put se porter en dessous du ...
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