1. Nymphomane moi ? Tome I (1)


    Datte: 23/10/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... fou...
    
    — Ohhhh... non... chuutttttt...
    
    Elles palpèrent les dentelles du devant, suivirent les lanières sur l’avant de mes cuisses jusqu’aux attaches et remontèrent lentement. Au passage, il déboutonna le troisième bouton du bas de la robe, et écartant légèrement celle-ci effleura doucement mon pubis du bout des doigts, je frémis.
    
    — Ohhhhhh... nooooonnnnn...
    
    Elles se posèrent ensuite le long de mes hanches et descendirent à nouveau le long de mes cuisses en suivant les lanières arrière. Je me cambrais un peu plus. Les mains passèrent sous la robe et remontèrent doucement jusqu’à la peau nue au-dessus des bas. J’écartais un peu plus les jambes, il commença à relever doucement la robe jusque sur mes reins. Sa main droite passa devant et il me caressa avec lenteur le sexe ruisselant, puis il inséra le majeur à l’intérieur de ma fente humide et commença un va-et-vient, de la main gauche, il déboutonna sa braguette, et sortit son sexe qui était effectivement énorme, même les plus grosses courgettes de l’étal ne souffraient pas de la comparaison. Mais lui tournant le dos, je ne pouvais pas avoir une idée de la grosseur réelle. Il dégrafa sa ceinture et le long de ses jambes frêles, son pantalon tomba sur ses chevilles, il ne portait pas de slip.
    
    Pour lui faciliter les caresses, j’avais écarté encore plus les jambes et j’étais penchée le buste en avant, la robe toujours en haut de mes reins, qui s’étaient cambrés malgré moi.
    
    La libération de son sexe effectuée, ...
    ... tout en continuant son en va-et-vient, maintenant avec plusieurs doigts à l’intérieur de ma chatte qui ruisselait et s’écartait de plus en plus, il remonta sa main jusqu’au sein gauche, qu’il se mit à caresser à travers le mince tissu. Puis il commença à déboutonner les deux boutons du haut de ma robe, l’écarta lentement et fit sortir mes deux seins. Un gémissement de contentement s’échappa de mes lèvres.
    
    — Oh ouiiiiiii, c’est bon... caressez-moi les seins... ouiiiiii... comme ça !
    
    — Je savais que tu ne désirais que ça, petite Salope. Je voyais bien ton manège lorsque tu venais.
    
    Il vint se plaquer contre ma croupe dénudée, son énorme rouleau de chair bandant au maximum s’insinua entre mes jambes, et il le frotta doucement contre la fente de mon sexe. Sa main droite abandonnant le va-et-vient qui prodiguait un flux humide de plus en plus important, remonta elle aussi vers ma poitrine soutenue par le demi-soutien-gorge. Il se saisit délicatement des deux tétons et les fit rouler entre son pouce et son index, puis il en pinça l’extrémité entre ses ongles, les tira, les malaxa, je les sentais s’allonger et durcir sous les caresses répétées, je les regardais, ils ne m’avaient jamais semblé aussi longs et ni aussi gros. De légers râles de plaisirs sortaient de mes lèvres.
    
    On ne parlait plus, seuls mes gémissements et ses halètements se répercutaient dans le silence du hangar.
    
    Au bout d’un petit moment, il me prit une main et la porta sur son phallus, qu’il continuait à ...
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