Nymphomane moi ? Tome I (1)
Datte: 23/10/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Xstory
Mes amis m’appellent Trixie, car c’est le diminutif de mon prénom, je suis une belle jeune femme d’environ vingt-sept ans. Blonde, mince, je mesure un mètre soixante-huit. Mes seins ne sont ni trop gros, ni trop petits. J’aime porter des dessous sexy en dentelles. Soutien-gorge noir demi-lune, laissant mes seins libres de toute entrave, bas et porte-jarretelles noirs, string. J’ adore le contraste du noir sur la peau blanche. J’aime le sexe, mais mon mari ne me donnant pas trop satisfaction sur ce plan. J’avais donc décidé de faire pas mal d’expériences. Dans la boîte où je travaillais, j’avais un amant, Maxime, il était aussi mon confident, je m’épanchais souvent auprès de lui surtout à la pause café.
— Je me suis aperçue à plusieurs reprises lorsque je vais dans une ferme chercher des légumes, que le fermier, un vieil homme de soixante-dix ans passés est très intéressé surtout lorsque je porte des tenues sexy. A plusieurs reprises, l’énorme bosse qu’il a sous son pantalon lorsqu’il me regarde a attiré mon attention. Je l’ai même surpris à se caresser discrètement le sexe tout en me regardant. Il est laid, les cheveux épars et grisonnants, le faciès maigre barré par une moustache, mais ça m’excite malgré moi...
— Ma petite chérie, me dit-il, si tu as envie de faire l’expérience, vas-y ! Aguiche-le, tu verras bien...
— Mais tu n’es pas jaloux ?
— Tu n’es pas à moi ! Tu es libre comme l’air, tu fais comme bon te semble !
Donc ce jour-là, revigorée par les propos ...
... de Max, j’avais décidé de voir ce qu’il voulait vraiment.
Nue, je fouillais dans le tiroir de la commode de ma chambre et attrapais une paire de bas et un porte-jarretelles noir, que j’enfilais. Je fis courir les bas sur ses jambes et les accrochais. C’était vraiment osé ! Mon sexe, presque imberbe semblait presque sourire entre ces deux lanières de tissus, reconnaissant des égards qu’on allait lui accorder. La vue de ma chatte à l’air dans le miroir me fit frissonner.
Il n’y avait personne sur le parking. Levant les yeux, j’aperçus le vieux bonhomme derrière une fenêtre de son hangar, sûrement alerté par le bruit du moteur de ma voiture. Il n’ouvrait le magasin qu’à partir de 15 heures, il était 13 heures 30, personne ne viendrait me déranger. Je me garais perpendiculairement à cette fenêtre, coupais le moteur.
Le vieux était toujours à m’épier. J’ouvris en grand ma portière, et jetais un regard aux alentours, personne ! Je déboutonnais les deux derniers boutons de ma robe légère, pour que celle-ci s’ouvre jusqu’à la limite des attaches de mon porte-jarretelles. Je pivotais ensuite sur mon siège et me mis face à la fenêtre, les fesses posées sur le bord du fauteuil. M’assurant que le vieil homme me regardait toujours, je me contusionnais sur le siège pour quitter son string, rangeais le triangle de tissu noir dans mon sac tout en laissant mes jambes assez écartées, j’étais sûre que le vieux se tripotait en me regardant, je descendis de la voiture.
Vérifiais dans ...