1. Le projet artistique (44)


    Datte: 13/10/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... Olivier et d’Elisa pour Paul étaient leurs préférés. Le soleil chauffait nos corps autant que la partie de sexe que nous menions. J’entendis un cri derrière, c’était Liz et Olivier, je ne pouvais les voir, seulement les entendre. Un deuxième cri de Liz et je compris qu’ils approchaient tous les deux du moment fatidique, les entendre sans les voir décuplait l’effet qu’ils faisaient sur moi. Je décidai de prendre une part plus active et empoignai les hanches d’Amandine. Je m’en servis pour la baiser plus qu’elle ne se baisait sur ma bite. Elle hoqueta de surprise et de plaisir. Elle s’attrapa les seins et joua avec.
    
    Des cris montaient à droite et à gauche, autant des plaintes des filles que des grognements des mecs. Apparemment, nous avions tous décidé de ne plus être passifs. Sans avoir besoin de regarder, je savais que nous baisions tous nos copines. Les cris, les couinements étaient suffisants pour me forger mon idée de la situation. Surtout Liz et Olivier derrière moi étaient ceux que j’entendais le mieux.
    
    — Aaaah, ouiiii.
    
    — Oh Liz, Liz, Lizzz.
    
    Les deux premiers venaient de jouir. Le simple fait de les entendre me fit grimper de plusieurs niveaux vers l’extase. Mais avec Amandine, nous ne fûmes pas les suivants. Marie et Germain prirent leur pied dans un concert d’encouragements mutuels. Je ne pouvais plus me retenir, je donnais quelques derniers violents coups de reins dans Amandine.
    
    — Oui, oui, encore, encore, souffla-t-elle. Oui, oui, ouiiiii.
    
    — Am, ...
    ... Am. Rha, rha, rhaaa.
    
    Je remplis son ventre de nombreux jets de ma semence. Son vagin massa ma queue un instant puis elle s’allongea sur moi. Amandine se blottit contre moi et je l’enlaçai. J’écoutai alors ceux qui restaient à baiser. Elisa et Paul jouirent en franco-allemand juste après nous. Les jumeaux et leurs copines ne devaient plus être loin non plus. Les filles semblaient se répondre par leurs petits cris. Les deux couples finirent par jouir presque en même temps dans un concerto à quatre voix. Le silence se fit enfin au bord de l’eau. Nous n’entendions plus que le bruit du courant de la rivière. Après quelques minutes, cela bougea enfin, chacun se leva pour aller se nettoyer à la rivière.
    
    Nous retournâmes nous sécher au soleil encore un peu, profitant de la beauté du lieu et de celle de nos compagnes. Elles ne dédaignèrent pas nous contempler également. Lorsqu’il fut 18h, il fallut se résoudre à rentrer. Nous nous rhabillâmes sans remettre nos sous-vêtements. Le chemin était en montée au retour, mais il n’était pas trop dur. Pour les escaliers, les filles nous donnèrent quand même les sacs et les matelas. En vue de la maison, Liz nous demanda de garder six matelas et de ranger les autres. Je ne voyais pas trop ce qu’elles voulaient en faire, mais nous gardâmes six matelas avec nous.
    
    — Ce soir, on continue à s’occuper de tout, nous avertit Amandine.
    
    — Mais...
    
    — Pas de mais Max. C’est comme ça. Tu vas pas te plaindre de te faire servir non plus.
    
    — Vous ...