Le projet artistique (44)
Datte: 13/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... Sylvie.
— C’est pas vous le problème, évidemment. J’ai quand même peur de voir des promeneurs débarquer d’un coup.
— Mais, non, je te dis qu’on est tranquille. Au pire, si on entend des canoës arriver, il te suffira de te mettre sur le ventre le temps qu’ils passent.
Elle hésita puis enleva son t-shirt. Elisa qui était une adepte du topless fit comme Marie. Les jumeaux avaient leurs pantalons de joggings. Ils avaient un peu chaud. Ils les enlevèrent pour rester en caleçon. C’était une bonne idée. Je fis pareil, vite suivi par les autres garçons. Je vis les filles mater nos corps musclés, mais douloureux. La chaleur augmenta encore, ces dames n’étaient pas très à l’aise. Elles finirent par se mettre toutes en sous-vêtement. Le flacon de crème solaire, acheté le matin, passa de main en main. Marie et Elisa se firent tartiner le dos et les seins par leurs hommes. Alors que j’en mettais sur le dos d’Amandine, elle enleva son soutien-gorge me disant qu’elle ne voulait pas le voir taché par la crème solaire. Finalement, elle l’ôta complètement et me demanda de protéger sa poitrine. Liz et Carine qui n’avaient pas prévu de se mettre la poitrine à l’air en firent de même finalement.
Ne restait plus que Sylvie qui ne voulut pas être la seule avec son soutien-gorge. Nous avions une superbe vue sur nos chéries. Esteban et Felipe voulurent tremper les pieds dans l’eau. Elle était très froide, mais cela délassa leurs muscles. Ils nous dirent de venir. Après la marche ...
... d’hier, c’était vrai que cela faisait du bien.
— Mais c’est surtout les bras et les épaules qui en auraient besoin, se lamenta Paul.
— Peut-être qu’on pourrait se baigner plus, mais je veux pas mouiller mon boxer et le remettre trempé après.
Olivier avait raison, se baigner un peu plus, c’était une bonne idée, mais il ne fallait pas mouiller nos caleçons ou boxers.
— On se trempe à poil ? proposa Germain.
L’idée d’abord saugrenue devint vite envisageable. Puis elle fut adoptée devant notre besoin de relaxation. Chacun sortit de la rivière et posa son sous-vêtement sur son matelas. Remettre les pieds dans l’eau fut facile. Mais passer les bijoux de famille fut très compliqué.
— Attention à vous, elle va devenir si petite qu’on la verra plus, se moqua Sylvie.
Nous l’ignorâmes et poursuivîmes notre bain. Une fois dedans, ça allait.
— Venez les filles, ça fait du bien, les invita Felipe.
Elles hésitèrent, mais vinrent tremper les pieds. Elles poussèrent d’abord de petits cris au contact de l’eau froide. Mais elles sentirent ses bienfaits. Elles voulaient se tremper plus, mais étaient embêtées par leurs culottes qu’elles voulaient préserver. Il fallut plusieurs fois les motiver, mais finalement, elles se fouettèrent à poil et s’assirent dans l’eau avec nous. Il ne fut pas possible de rester plus de cinq minutes quand même. En ressortant, nous nous rendîmes compte que nous n’avions pas amené de serviettes. Il fallait donc se sécher au soleil. Et en effet, nos ...