1. Le mariage


    Datte: 12/10/2022, Catégories: fh, ff, fhh, fhhh, hagé, extracon, candaul, campagne, Oral Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... le même appartement, on va simplifier les choses et vous ne serez plus obligé de le faire derrière mon dos ; en échange plus tard, je te demanderai de me rendre un service.
    — Quel service ?
    — Père m’a annoncé que j’avais eu les oreillons et que de ce fait, je ne pourrai pas être géniteur, alors tu seras l’inséminateur de ma famille. Mais à condition que cela ne se sache jamais. Tu dois aux yeux de l’extérieur rester mon frère et pas l’amant de ma future femme. C’est OK ?
    — C’est drôle, mais c’est OK. On peut commencer alors tout de suite ? Elle me parlait de kirsch, avec deux mecs en bonne santé, elle va déguster.
    — Ne vous faites pas de bile mes mignons, j’espère bien grimper régulièrement aux rideaux. On fait comment ?
    — Je vais commencer, vu que tu viens de le soulager avec ta bouche, cela lui donnera du temps pour continuer après mon passage
    — Cela me convient si elle me durcit avec la bouche, c’est un peu moins doux, mais avec la langue, c’est vraiment un plus.
    
    J’approche ma bouche de l’antre de perdition quand une odeur caractéristique me retient.
    
    — Tu lui as aussi pollué la boîte à marmot. Viens d’abord un peu nettoyer ce que tu as laissé que je puisse aussi me régaler.
    — Tu fais ça de lui lécher le minou, c’est dég.
    — Non, quand il n’y a pas un sans-gêne qui le pollue juste avant.
    —Attendez les deux, de cette manière, on est encore là demain à se chipoter, je vais me passer un coup depanosse qui va rendre plus visitable le temple de l’amour.
    
    Et ...
    ... nous voilà, les deux, la bite en l’air comme des collégiens attendant le retour du professeur.
    
    — Tu t’occupes du haut, pendant que j’œuvre dans les profondeurs.
    — Pas besoin de fignoler, je suis toute prête, tu peux y aller direct et toi Bertrand, viens que j’aiguise le fil de ton épée avec ma bouche.
    — Somme tout, tu nous prives de dessert, j’aime bien le jus de moule quand il n’est pas pollué.
    — Si tu veux, un petit coup de serpillière n’a jamais tué personne.
    
    Alors que je m’applique à rendrerutilant le terrain des opérations, Bertrand malaxe les laiteries réunies et essaye d’en tirer quelque chose. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’en tétant en haut, cela ressort en bas, j’ai le visage inondé à croire qu’elle me pisse dessus, mais rassurez-vous, c’est bel et bien de la bonne crème de con. Quand enfin, rassasié de ma part de dessert, je me plonge dans la brèche ouverte par mes baisers et je me mets à piocher rudement. Anna ne fait aucun commentaire, non pas qu’elle n’apprécie pas, mais elle a été éduquée à ne pas parler la bouche pleine, néanmoins à voir son déhanché je suis sûr qu’elle apprécie ma prise de Sébastopol par la brigade de cavalerie légère.La pression est telle que rapidement je l’inonde de monflux intime.
    
    — Bertrand je te laisse la place, mais j’aimerais bien que tu ne la fructifies pas. Ce serait trop tôt, pas avant la fin de l’an prochain, qu’on ait le temps de passer notre diplôme les deux.
    — Mais Alain, tu me tues avec tes considérations bassement ...
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