1. Le mariage


    Datte: 12/10/2022, Catégories: fh, ff, fhh, fhhh, hagé, extracon, candaul, campagne, Oral Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    Résumé des chapitres précédents (Cinq garçons,On ne grandit pas toujours en sagesse).
    
    Père a vu grand pour nous loger, il a réussi avec un ami militaire de nous dégotter un appartement trois pièces pour Bertrand, Anna et moi. Oui, c’est son tour de se taper les études et de transpirer sur les concepts qu’il n’a même pas l’idée. C’est vrai qu’on va se la jouer comme avec moi, on va lui aider pour qu’il sorte honorablement.
    
    Les cours se déroulent sans incident spécial et Bertrand se débrouille mieux que moi, on n’a presque pas besoin de l’aider.
    
    Comme les horaires d’Anna et les miens sont identiques, on fait les voyages pour l’école ensemble et on couche ensemble, ce que Bertrand n’apprécie pas trop, car je n’ai pas admis qu’il amène une copine. C’est vrai qu’on aurait pu mettre les deux filles dans la même chambre officiellement. Ceci a bien fonctionné jusqu’à ce qu’un prof me retienne pour me proposer un poste d’assistant et il fallait qu’on en discute et Anna est rentrée avec Bertrand. Vous me diriez, c’est normal, mais quand je rentrai et que j’embrassai Anna en lui annonçant la bonne nouvelle que j’étais pris comme assistant et tous les mercredis je rentrerai deux heures plus tard.
    
    Je trouvais un drôle de goût dans sa bouche qui me rappelait vaguement quelque chose, mais je ne savais pas quoi.
    
    — Tu devrais te laver les dents que je lui dis.
    
    Pendant la nuit, alors qu’on se payait un peu de bon temps, elle me soulagea dans sa bouche et comme la première ...
    ... fois elle vint m’ingurgiter une partie du produit de mes couilles. Là, je compris que la scélératesse s’était payé le frère. C’était pas trop grave, puisque c’était prévu, mais j’aurais préféré être officiellement au courant.
    
    Que faire ? Accepter de partager avec Bertrand. Le mal est fait et on n’y peut rien. Je ne vais pas me fâcher alors que je me suis payé souvent du bon temps avec Madame Dupuis. Je la vois venir tout de suite.
    
    Après ça, je lui ai dit :
    
    — Va chercher Bertrand, on ne va pas tourner autour du pot, tu vas l’avoir ton kirsch.
    — Tu as remarqué et tu n’es pas fâché ?
    — Si un peu, j’aurais préféré ne pas être mis devant le fait accompli.
    — Mais le pauvre, il nous entendait et il souffrait le martyre, surtout que tu lui as interdit d’amener une copine. Merci, mon chéri, d’accepter que je me partage.
    
    Cette salope, elle sait argumenter et je me chope une trique à faire rougir un âne de honte.
    
    — Ça a l’air de te plaire quand je vois comme tu bandes maintenant. Tu veux vraiment que j’aille le chercher ?
    — Fais comme je te le dis, comme cela il n’y aura plus de faux-fuyant.
    
    Quelques minutes plus tard, après un court conciliabule, les voilà qui viennent en se tenant par la main. C’est mignon !
    
    Et dire que quand j’étais avec le prof, c’est pas la main qu’elle lui tenait la garce.
    
    — Alain alors tu veux bien qu’on se la partage ? Merci.
    — Quand j’ai senti son haleine, j’ai compris que vous vous êtes passé de ma permission alors puisqu’on vit dans ...
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