1. Le mariage


    Datte: 12/10/2022, Catégories: fh, ff, fhh, fhhh, hagé, extracon, candaul, campagne, Oral Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... deux femmes, il passait et repassait en grommelant son désespoir et les cadets n’arrêtaient pas de polluer leur linge de lit. On aurait dit le service topographique national.
    
    Finalement, on s’est résigné à prendre la ferme de Silvaine à notre compte, vu que pendant une demi-année, avec Anna, c’était les travaux pratiques et on s’est choisi, en tandem, de nous consacrer à l’élevage, l’abattage et la commercialisation de viandes exotiques. Créneaux que père nous a volontiers laissés ; en complément, on a acheté un étalon et trois juments pour l’élevage touristique et pour permettre la monte aux vacanciers.
    
    C’est une branche qui se développe dans les environs. Il fallait voir Anna aider l’étalon à faire son devoir conjugal. C’était excitant quand elle prend la chose en main.
    
    À la fin de l’été, c’est Bertrand et Charly qui se retrouvent à l’école d’agriculture. Père a hésité entre adjoindre mère ou Silvaine pour les surveiller. Finalement, c’est Silvaine qui s’est sacrifiée. (Je vois déjà les soirées mouvementées avec ce coquin de Bertrand, sans parler de Charly qui voulait enfin connaître ses premières expériences, elle va être comblée, elle qui était au chômage technique par son veuvage)
    
    Mais avec tout cela, en plus de la pratique, on a dû préparer les examens finaux, Silvaine nous certifiant notre travail qui du reste était connu de l’école, on a eu une visite de contrôle.
    
    Pendant trois semaines, le temps des examens et de la défense de notre travail de ...
    ... diplôme, on était un peu serré dans notre appartement, enfin il y a pire, même Silvaine avait droit à sa chambre particulière.
    
    Résultat des courses, on est diplômé avec félicitations du jury. Mauvaise nouvelle, le service militaire. Ça va être dur ! Une fois le diplôme en poche, Anna va reprendre seule ce que l’on a commencé.
    
    C’est au cours de l’été qu’Anna, se croyant seule, s’est offert un bain de soleil intégral, l’ennui, c’est que La Fleur, venant s’enquérir de la bonne marche des affaires, la trouve dans le plus simple appareil, offrant son corps à Phébus. L’effet est immédiat, de sa culotte de travail surgit par en dessous un long tuyau de chair, noueux à souhait.
    
    Réalisant l’étrangeté de la situation Anna, ne cherche même pas à se couvrir, mais fixe avec intérêt cet hommage à sa beauté.
    
    Constatant le manque de réaction négative, La Fleur s’approche et se mettant à genoux, à l’entrée du capharnaüm, fixe cette forêt luxuriante d’une génération plus jeune que lui.
    
    — Tu aimes le sexe, m’as-tu dit, je crois que je vais te le faire encore plus aimer. Ouvre un peu les jambes, j’ai envie en primeur de rendre hommage à ton temple des turpitudes.
    — Avant, mets-toi à l’aise, ensuite pourquoi pas.
    
    Retirant ses vêtements il apparaît dans le plus simple appareil et sans attendre plus, il s’avance, la lippe en avant, prêt à déguster cette huître prometteuse.
    
    Il plonge sa langue avide entre les lèvres quémandeuses de tendresse et se rassasie de cette fontaine de ...
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