1. Ma mère entre Paradis et Enfer. (1)


    Datte: 07/10/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: sexag, Source: Xstory

    ... culotte. Que nenni, un doigt puis deux puis la main entière ont raison de la barrière de tissus élastique.
    
    - « Mais tu mouilles, tes poils sont trempes. J’adore les chattes poilues, je n’aime pas ces femmes qui se rasent ou alors lorsque les poils repoussent, ça pique et c’est très bon. Allez, déshabille-toi »
    
    Avec une certaine réticence, ma mère se lève, fait glisser sa robe qui tombe à terre dévoilant ses généreuses formes et le sein sorti de son bonnet. Effectivement, la culotte de sa gaine, est maculée d’un large tache humide.
    
    - « Enlève-moi ces dessous peu sexy, ton corps mérite mieux. »
    
    - « Vous aussi madame, Euh… Amélie, enlevez vos vêtements. C’est donnant donnant »
    
    Visiblement ma mère a pris de l’assurance, elle semble comme sur un nuage qui l’empêche de réfléchir et tout en terminant de se déshabiller, se caresse ses gros seins dont les tétons paraissent très excités.
    
    Pendant qu’Amélie termine son effeuillage, elle demande à ma mère de se toucher.
    
    - « Branle toi devant moi, montre-moi si tu en as l’habitude malgré tes interdits religieux. »
    
    Ma mère sait qu’il lui arrive, quand elle prend sa douche de s’essuyer longuement l’entre jambes en faisant même pénétrer la serviette dans sa chatte et exciter son clitoris. A chaque fois elle implore Dieu pour la pardonner de prendre un plaisir solitaire mais c’est si bon ! et chaque fois elle a un orgasme.
    
    En se déshabillant, Amélie est maintenant nue devant ma mère. C’est également une femme ...
    ... plantureuse avec aussi une énorme paire de seins lourds. Le corps de cette paysanne à la peau fortement teintée redonne du baume au cœur à ma mère qui se rend compte qu’un corps imposant peut être excitant car elle est bien excitée par la situation. Une toison frisée brune énormément fournie cache complètement son pubis et semble se prolonger loin jusque sur la raie des fesses.
    
    C’est la maitresse de maison qui prend les initiatives. S’approchant de ma mère elle la prend par les épaules, renouvelle l’approche des lèvres de celle qui est maintenant sa proie et surprise : ma mère accepte le baiser la bouche ouverte et la langue tendue vers les lèvres épaisses de la fermière. S’ensuit un frénétique fouillage des cavités buccales et du mélange de salives. Quatre mains baladeuses se promènent sur les corps pendant que les seins de frottent à loisir.
    
    Décidément ma mère ne boude pas son plaisir, elle sent ses cuisses se mouiller abondamment de cyprine.
    
    - « Etend-toi sur le lit Line, j’ai envie de te bouffer la chatte, de mettre ma figure entre tes énormes cuisses, pousse sur ton clito que je le dévore je vais t’amener au septième ciel. »
    
    - « Moi aussi j’ai envie de te bouffer le cul salope de fermière. Mets-toi à quatre pattes. Je veux voir tes seins pendre dans le vide. »
    
    Ma mère semble parti sur une autre planète. Elle ne contrôle plus son vocabulaire et emploi des phrases qu’elle a déjà entendues dans des vidéos regardées « clandestinement, coupablement » sur internet. ...
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