1. Ma mère entre Paradis et Enfer. (1)


    Datte: 07/10/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: sexag, Source: Xstory

    Cette histoire m’a été suggérée et commandée par une des lectrices d’Xstory pour exposer son fantasme de voir sa mère Aline de très grosse corpulence, veuve, très catholique sombrer dans le plaisir interdit du monde du stupre et de la fornication.
    
    La messe dominicale
    
    Ma mère attendait chaque dimanche comme le point culminant de sa semaine. Bien qu’elle aille le plus souvent possible aux différents offices proposés par le Diocèse, en cette période de crise sanitaire, les messes de confinement avaient vu la présence des fidèles se raréfier de plus en plus et seule la messe dominicale appelait efficacement les catholiques à la prière. Non pas que les autres messes perdaient leur attrait vis-à-vis de ma mère, mais elle aimait prier dans ce lieu saint, empli des chœurs et chants des autres fidèles. Elle ressentait l’Amour tourné vers Dieu s’élever des bassesses du monde terrestre vers les Cieux et cela l’emplissait d’une joie interne.
    
    Ce dimanche matin-là, elle s’était préparée comme d’habitude avec minutie teintée d’excitation pieuse. Après un frugal petit-déjeuner, elle s’était habillée avec sa tenue du dimanche. Elle s’était acheté une de ces nouvelles gaines-culottes, lui permettant de camoufler les larges rondeurs de ses fesses. De plus, cette gaine-culotte, très élastiques, lui donnaient un sentiment de protection. Tout en cachant les formes plus que volumineuses de ses hanches et de ses fesses, ce sous-vêtement était extrêmement difficile à retirer, lui donnant ...
    ... la garantie qu’un potentiel violeur n’arriverait jamais à ses fins avec de tels vêtements. Il faut dire que le quartier dans lequel elle vivait, avait bien changé ces derniers temps, et qu’avec la crise sanitaire, les gens « biens » se réfugiaient chez eux alors que les petits et grands voyous continuaient à parcourir les rues. Ma mère se dandina pour enfiler sa gaine, et petit à petit, elle vit son importante toison pubienne, sombre et épaisse, disparaitre sous le large tissu élastique.
    
    Puis elle enferma sa poitrine dans un de ses vieux soutien-gorge. Elle prit son sein droit, tombant sous le poids à une main pour le guider et le mettre dans son bonnet. Elle fit de même avec celui de gauche.« Si seulement un soutien-gorge du même type que la gaine pouvait exister... » pensa ma mère avec regret, en finissant de cacher ses derniers vestiges de féminité. Elle enfila une de ses larges et longues robes, celle à motif de fleurs. Elle s’acharna quelques secondes à faire passer la robe au niveau de sa poitrine, puis encore quelques autres secondes au niveau de ses hanches, même comprimé son corps laissait voir ses grosses formes, qu’elle cherchait par tous les moyens à cacher. Elle en avait honte. Elle se regarda furtivement dans le miroir et sortit de chez elle. Elle gagna rapidement l’église, son refuge, et s’assit sagement à sa place favorite. Elle n’avait plus qu’à se recueillir en attendant le début de la messe.
    
    En pleine méditation, et en contemplation devant la Vierge ...
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