1. Ma mère entre Paradis et Enfer. (1)


    Datte: 07/10/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: sexag, Source: Xstory

    ... prônent l’amour de son prochain. Je pratique donc cet amour avec les hommes mais surtout les femmes. Des saintes nitouche qui se cachent sous couvert de leur religion, j’en ai vu et finalement elles ont bien compris qu’il n’y avait pas de mal à se faire du bien. Je t’ai dit que ton corps imposant m’excitait avec ce gros cul et cette poitrine qui ne demandent qu’à être caressés. Je suis sûr que tes seins laiteux sont ornés d’une large aréole d’où émergent de jolis tétons qu’on aurait envie d’aspirer. »
    
    - « Vous délirez madame Koma. Gardez vos fantasmes, je vais prier pour vous. »
    
    Cela dit, l’africaine reprend son étreinte et tente à nouveau un baiser mais ma mère repousse vigoureusement l’importune qui attrape Line par les poignets et la plaque sur le lit les bras en croix, elle se couche sur sa proie qu’elle emprisonne avec ses jambes. Ma mère prisonnière du haut, réagit en agitant vigoureusement ses jambes ce qui fait virevolter sa robe et découvre sa gaine culotte. Amélie en profite pour introduire une cuisse entre celles de ma mère et entame un frottement contre son pubis.
    
    - « Laissez-moi vous êtes folle ! que faites-vous ? Mon Dieu, aidez-moi ! »
    
    – « Laisse-toi faire, tu vas voir comme c’est bon. Tu n’as pas envie de t’offrir une black ?»
    
    La bouche d’Amélie se repositionne sur les lèvres de ma mère qui esquive à nouveau le baiser en refusant ces grosses lèvres pulpeuses. La langue de la black se promène sur la figure de celle qu’elle considère comme sa ...
    ... partenaire puis le cou, derrière les oreilles et embrasse la poitrine par-dessus la robe.
    
    Les frottements appuyés de la cuisse d’Amélie sur l’entrecuisses de ma mère lui font un effet bizarre qui lui rappelle les sensations rencontrées lorsqu’il lui arrive de se caresser dans sa salle de bains.
    
    Soudain, la respiration de ma mère s’accélère, elle semble moins résister aux assauts de madame Koma qui lui lâche les poignets. Les mains libres, Amélie entreprend de fouiller le haut de la robe pout essayer d’atteindre une sein en le faisant sortir de son bonnet. La caresse du téton fièrement dressé semble ne pas laisser ma mère indifférente. Elle laisse échapper un petit cri. De douleur, de plaisir, de réprobation ? toujours est-il qu’elle ne retire pas la main exploratrice.
    
    - « Déshabille-toi, je veux tout ton corps tu m’excites terriblement, tu me fais mouiller. »
    
    - « On ne devrait pas faire ça madame Koma, Dieu nous regarde il nous punira. »
    
    - « Mais non, ton Dieu est amour comme dit le père Joseph et le mien m’a pardonné depuis longtemps. Appelle-moi Amélie, ce sera plus sympa. »
    
    - « Je ne sais pas si je pourrai madame, nous nous connaissons depuis si peu, je vous considère comme ma patronne et vous êtes plus âgée que moi. Votre attitude m’a complétement déboussolée »
    
    Pendant ce bref échange, les mains d’Amélie se sont insinuées sous la robe de ma mère qui se laisse caresser les cuisses en pensant qu’elle est protégée d’une intrusion sur son pubis par sa gaine ...
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