1. Histoire sidérale pour homme désirant et femme sidérante


    Datte: 02/02/2018, Catégories: fh, telnet, volupté, odeurs, sf, Auteur: Arthur, Source: Revebebe

    ... frissonnes parce que tu sais pas si ça va durer tu sais pas si l’autre a aimé autant que toi. Alors tu te surpasses pour lui faire du bien, tu es attentionnée… Et tu peux pas appuyer sur "play it again", comme un morveux de deux ans qui ne sait dire que "encore, encore, encore", d’ailleurs tes nanas elles répètent ça tout le temps, "encore, encore, oh oui encore" c’est pas suspect ça?
    — Mais qui tu es pour juger ça?…
    — Je te juge pas mais ça m’énerve. Moi aussi quand j’étais en longue mission, y avait le même truc pour les nanas, mais avec deux copines on préférait largement se retrouver ensemble pour faire l’amour. On aurait pu pourtant s’envoyer des mastards longs comme le bras et qui débandent jamais. Autant baiser avec une matraque. On se disait entre nous, "C’est pas parce qu’ils nous mettent en orbite qu’ils nous mettront une bite en or".
    
    Elle poursuivit:
    
    — Quand tu sens la pulsion, t’es pas obligée de la réaliser tout de suite, tu te mets à en rêver, tu imagines des trucs… Tu diffères juste un peu, c’est ça la sublimation. Et quand tu rencontres quelqu’un qui te plait, tu passes à l’acte et c’est encore mieux. mais avec la cabine, c’est tout, tout de suite!
    — C’est bien un point de vue de nana : les trois quarts des nanas sont aussi impénétrables que les voies du seigneur, ou les abris du pentagone. Et ce ne sont pas tes imprécations de sycophante féministe qui vont me faire sentir coupable, je ne renie rien de mes pratiques en cabine virtuelle. Quant à ta ...
    ... conception de la sublimation, tu m’excuseras mais paumé sur une planète pareille…tu m’en reparleras quand je serai de retour à la civilisation.
    
    Après cette discussion agitée, ils regagnèrent chacun leur cabine. Ernest pensait:
    
    — Et si elle avait raison, cette petite nana, c’est bien la seule qui m’ait traité de con depuis des lustres, mais après tout c’est bien que je ne lui suis pas indifférent, si elle met tant de force à me convaincre… Elle a peut-être raison…
    
    En fin de soirée, il vint la voir à sa cabine, elle était assise sur son lit, et s’épilait les jambes. Il la regarda en souriant. Elle dit :
    
    — Ben oui tes bombes sexuelles elles n’ont jamais besoin de ça, alors que moi… ça repousse … mais une fille qui s’épile, c’est une fille au poil, non? Mais tu t’en fous…
    — Mais quand ça repousse, c’est repoussant, non ?
    
    Emilie siffla d’admiration:
    
    — Tu te mets au jeu de mots… je suis contagieuse. Au fait excuse moi pour m’être emportée tout à l’heure…
    — C’est rien.
    
    Elle s’épilait en écartant les cuisses. Il bénéficiait d’une vue imprenable sur sa toute petite culotte. C’était un modèle en dentelle noire, qui laissait deviner la toison du pubis. Le fond s’insinuait entre les grandes lèvres, dessinant un sillon tentateur. Emilie semblait s’en soucier peu, elle avait bien vu qu’Ernest commençait à être sensible à son charme et cela lui plaisait.
    
    Il ne pouvait plus parler, trop occupé à regarder ce corps de vraie femme. Elle s’épilait tranquillement, levant ...
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