1. Retour à la réalité.


    Datte: 03/10/2022, Catégories: fh, grp, couplus, candaul, campagne, Oral pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, sm, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... serait pas nécessaire…
    — J’ai cours et notre fils a besoin de moi. Chérie, ne te sens pas coupable. Je t’aime. Nous en avons souvent parlé, c’est la meilleure solution.
    
    Un silence.
    
    — Tu as un candidat ?
    — Non, non.
    — Tu fais attention. N’oublie pas ta bombe lacrymo, on ne sait jamais. Et essaye de ne pas te faire reconnaître. J’ai vu sur le net qu’il y a d’autres hôtels à côté du tien. Ils ont l’air bien, trois étoiles, cela devrait garantir une sélection… Bien que l’argent ne soit pas la preuve de ne pas tomber sur un vicieux.
    — Je ferai attention. Je t’enverrai un sms lorsque j’aurai fini. Je t’aime.
    — Moi aussi. Pense à moi lorsque tu…
    — Je pense toujours à toi.
    — Menteuse. Mais je ne t’en veux pas. La nature a ses obligations…
    
    Quand je vous dis que j’ai un mari fantastique. Et surtout ne le croyez pas « impuissant » ou « mal équipé » ou « inexpérimenté ». Non au contraire et c’est sa virilité et son art de me faire jouir qui lui donne cette force, cette confiance, pour me laisser cette liberté.
    
    Je suis prête. J’ai passé ma tenue de ...
    ... « dragueuse ». Ma robe est sans équivoque, ma lingerie réduite au minimum. J’ai mon plug dans mon petit trou. Découvrir cet objet fait comprendre à mon amant d’une nuit que je suis plus que disponible. Alex ne le sait pas. J’ai tout de même un jardin secret.
    
    Merde le minibar est vide. J’ai besoin d’un ou deux verres pour me mettre dans l’ambiance. Je pars sans rien, uniquement des capotes. Ainsi, mon amant ne peut pas savoir qui je suis.
    
    Personne au bar. Tous les tabourets sont vides. Je commande une, puis deux, puis trois vodkas. Le numéro de ma chambre sert d’argent.
    
    — Bien entendu Madame. Bonne soirée Madame.
    
    Barman imperturbable qui doit avoir déjà tout vu.
    
    Je vais partir. L’alcool commence à faire effet. Malgré mes besoins et le libertinage, j’ai besoin de forcer une nature que des années d’éducation rigide brident encore.
    
    Je pars mais une femme se met sur mon chemin. Je reconnais la blonde plantureuse de tout à l’heure :
    
    — Excusez-moi, vous voulez bien nous joindre à nous ? Mon ami et moi-même en serions heureux…
    
    … À suivre … 
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