Amazonie (5) - Histoires de Sexe

Amazonie (5)

... son sexe en bouche. Ma première fellation donnée ! Je me remémorai mes amours avec les amazones quand j’étais encore un homme. J’appréciai cet acte et Gaspar visiblement aussi, à tel point qu’il éjacula rapidement. Je le gardai en bouche et avalai une partie de son sperme, avant de me lever pour l’embrasser de nouveau. Il goûta ainsi malgré lui à son propre sperme mais en fut juste surpris.— Pardonne-moi Jéromine, tout cela est un peu nouveau pour moi.— Pour moi aussi, fis-je. Je crois que les choses viennent naturellement.— Oh, mon sexe reprend une taille normale, je ne bande plus.— Cela va revenir, tu pourras bientôt me saillir.— Et si je te mets enceinte ?— Les amazones, bien que je fus leur prisonnière (La Déesse me pardonne pour ce nouveau mensonge), m’ont enseigné l’usage de certaines plantes. Ne crains rien, je ne serai pas enceinte si je ne le souhaite pas.En attendant que Gaspar retrouve de la vigueur, je lui demandai s’il voulait bien me lécher la vulve. je lui dis qu’il pouvait aussi jouer avec le bouton au-dessus et que j’y prendrai un grand plaisir. Il le fit de bonne grâce et je connus alors ma première langue d’homme pour ce qu’on appelait en latin un cunnilinctus. Gaspar était doué, très doux aussi. J’aimais bien.Son braquemart étant de nouveau en position porte-étendard et ma fente bien lubrifiée, je lui proposai de venir sur moi pour me prendre en missionnaire, ce qu’il était. J’écartai les jambes pour m’offrir à lui. Sa bite ne fut pas longue à me ...

... pénétrer, et ce pour notre plus grand bonheur. Ayant déjà joui, le coït dura un temps honorable avant que la jouissance ne nous touchât tous les deux presque simultanément. J’eus un orgasme bruyant et lui aussi. Heureusement que les domestiques étaient loin. Nous restâmes enlacés longtemps.— Jéromine ?— Oui Gaspar.— Tu ne veux pas rester ici avec moi ?— Tu as des responsabilités au sein de l’ordre, cela finirait par se savoir que tu as… une concubine. Ou alors il faudrait nous défroquer tous les deux pour mener une vie civile. Je ne crois pas que ce soit une bonne idée, pas maintenant. L’ordre a besoin de gens comme toi, humains et compréhensifs. Je vais rentrer en Espagne comme prévu.— Tu vas me manquer.— Toi aussi, mais tu reviendras bien un jour en Espagne, non ?— J’y travaillerai, sous peu, je te le promets. Je fais faire en sorte que tu deviennes l’adjointe de la mère supérieure dont je t’ai parlée hier, tu auras plus de libertés.Nous restâmes ensemble trois jours, jusqu’à ce que les habits de nonne bénédictine arrivent. Nous fîmes l’amour dans toutes les positions que je connaissais. J’omis toutefois de tenter la sodomie avec Gaspar, il était encore un peu jeune avec trop de préjugés catholiques.Armée de mes sauf-conduits et d’autres affaires dont mes plantes, je partis en carriole vers la côte où le premier bateau devait m’emmener vers Panama. Sous ma robe de bénédictine, je m’étais armée de deux couteaux dissimulés sur chacune de mes cuisses, j’en avais un autre sur mon ...