1. Douleur et plaisir ébènes (3)


    Datte: 30/09/2022, Catégories: Gay Auteur: Igor KACHOV, Source: Xstory

    ... mais réaliste) son sexe ébène au fond de ma bouche. Il resta bloqué un instant, s’amusant certainement à me voir suffoquer après le coup que je venais de recevoir. Puis, il commença ses va-et-vient avec une grande amplitude pour que je sente bien chaque centimètre s’enfoncer. Il aimait ça. Je sentais son phallus durcir et ses gémissements arriver progressivement. Je tétais son gland, il en était féru. Je léchais ses couilles gorgées de sève, il adorait. Je servais mon maître avec application. Je le sentais venir au fur et à mesure que le rythme s’accélérait.
    
    Il déchargea sa semence dans ma gorge, et bloqua à la fin son sexe désormais énorme au fond de ma cavité buccale, me forçant à déglutir chaque giclée de sperme qu’il avait crachée. Le liquide chaud coula en moi et je compris par ses insultes proférées à mon égard, sa grande satisfaction. Je léchai avec application sa queue à coup de langue et nettoya le liquide suintant qui s’échappait de son méat.
    
    Le divertissement terminé et toujours aveugle, il me tira au bout d’une laisse, d’abord dans le couloir hors du vestiaire, puis jusqu’au coffre de sa voiture. Je ne sais combien de mètres nous avons parcourus, mais le fait de pouvoir être surpris à tout moment par des collègues me terrifiait.
    
    Je me plaçai en chien de fusil au fond du véhicule, le coffre claqua et la voiture démarra. Le nom d’Hardivilliers ne me disait absolument rien, pourtant c’est là que me conduisait mon maître. C’est du moins ce que j’avais ...
    ... compris.
    
    Nous avons roulé un temps qui me parut infini, et nous étions selon le bruit du moteur à vive allure et en ligne droite. Une autoroute ?
    
    Enfin, la voiture ralentit. J’entendis le clignotant indiqué aux autres véhicules que nous tournions, puis notre voiture s’immobilisa. Je restai confiné un certain temps, entendant au dehors des voix autour du véhicule.
    
    Alors que les voix étaient toujours présentes, le coffre s’ouvrit et une main saisit mon collier pour m’extraire.
    
    — Viens ici et tiens-toi tranquille, dit mon maître d’un ton sec.
    
    Je sortais du coffre, les yeux toujours bandés. Nous étions dehors, mais il faisait bon, une chaleur douce caressait mon corps. Les voix autour de moi m’intriguaient. Il ne m’avait quand même pas fait sortir en public, à poil, les mains entravées avec un bandeau sur le visage !!
    
    Je n’eus pas le temps de réfléchir davantage. Mon maître me dit de me positionner à genoux. Une fois la chose faite, il me retira le bandeau et je fus ébloui par des lumières de phares braqués sur moi.
    
    Autour de moi, un petit groupe s’était attroupé. Chacun parlant à l’autre certainement de moi. Comme pour un animal en vitrine ou pour un objet, on parlait de moi sans s’adresser directement à moi, comme si je n’existais pas.
    
    Une ombre en contre-jour se détacha du groupe et vient vers moi pour saisir ma laisse.
    
    A ce moment-là, les phares s’éteignirent et tout devint sombre. Les ombres se dispersèrent puis s’évanouirent dans la nuit soudainement ...
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