Douleur et plaisir ébènes (3)
Datte: 30/09/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Igor KACHOV, Source: Xstory
Plusieurs mois s’étaient écoulés depuis ma dernière aventure, et l’image de mon maître m’obsédait. J’implorais sa présence quand il était loin, la regrettait, parfois, quand il était trop prêt. Il l’avait parfaitement compris et en jouait, m’ignorant superbement parfois sur mon lieu de travail ou bien de temps en temps, me forçant à des pratiques sexuelles humiliantes en pleine journée, alors que mes collègues étaient à quelques mètres de nous et pouvaient nous surprendre à tout moment.
Plus cette fascination grandissait, plus mon mariage vacillait. Elise était devenue distante et pour ces vacances de Pâques, elle était partie avec les enfants chez ses parents aux Sables sur le remblai. Cette situation m’attristait et j’étais conscient que vis-à-vis d’elle et des enfants, tous les torts étaient de mon côté. Allais-je pouvoir (ou savoir) dire non à mon maître et retourner à ma vie d’avant ? En avais-je seulement l’envie alors que mon épanouissement sexuel n’avait jamais été aussi intense ? Il me manquait cependant l’amour. Choquant ?
Ce vendredi en fin de journée, le ciel était magnifiquement bleu et présageait un week-end chaud et radieux. Je vis mon maître arriver dans les bureaux pour y faire le ménage, comme à son habitude, consciencieux et appliqué à la tâche. Il s’approcha de mon espace de travail où je me trouvais désormais seul à cette heure.
— Tu descends au vestiaire habituel du sous-sol à 20h00. Pas une minute de retard et trouve un moyen pour bien de ...
... laver avant.
Ce furent ses seuls mots, mais l’excitation monta en moi et ne me quitta plus jusqu’à l’heure indiquée par mon maître. J’allai aux toilettes, discrètement muni de ma petite canule de circonstance pour faire ma toilette intime. Ce ne fut pas chose facile, mais ce nouveau défi fut relevé. Je me trouvais à 20h00 devant l’entrée du vestiaire et entrai après en avoir reçu l’ordre.
— Tu te mets à poils et tu fous tes fringues dans l’sac... tu te magnes sinon je te les lacère tes fringues !!
Sans un mot, j’enlevai mes vêtements. J’étais devant mon maître entièrement nu et en demi-érection. Il le vit, mais ne dit rien. Pour me calmer, il me plaça mon habituel collier d’esclave en cuir et menotta mes poignets par-derrière. Soudainement, il me tira dans les douches du vestiaire où il ouvrit le robinet d’eau froide avant de m’asperger à grande eau. Je criais, essayant de m’extraire, mais il me gardait bien sous cette eau froide. Mon début d’excitation fut immédiatement calmé. Il arrêta, me sécha avec sa serviette déjà utilisée et me banda les yeux.
Plongé dans le noir, j’entendis mon maître répondre au téléphone. On lui donnait rendez-vous à 22h00 dans une ville au nord de Paris d’après ce que je compris. Il raccrocha et s’approcha de moi. En même temps qu’il me força à m’agenouiller par un coup de poing bien placé dans le ventre, il me dit " Tu vas pouvoir me servir et me faire du bien avant notre petite virée nocturne" et il m’enfourna (le terme est assez imagé, ...