1. Série insolite. Épisode 11 : « William ». Le cocu prend plaisir à voir sa future femme se faire baiser. Partie 2/13


    Datte: 28/09/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... plus, mais sous les conseils de ma jeune maitresse, nous continuions à vivre ensemble afin de ne pas perturber nos enfants. Agnès était prête à attendre patiemment qu’ils soient plus grands pour que je puisse divorcer. Ma relation extra conjugale était devenue très sérieuse, au début celle-ci restait secrète, quelques semaines plus tard, je ne la cachais plus.
    
    Comme Agnès me l’avait dit, mes employés savaient pratiquement tous que j’étais cocu, maintenant je ne me gênais pas pour venir lui faire une bise devant tout le monde, lorsque j’allais dans l’atelier de fabrication. Vu ma position avec les enfants, je ne pouvais rester dormir chez ma maitresse, nous nous voyions que trois soirs dans la semaine. Néanmoins cela n’avait pas l’air de l’ennuyer, à ma grande surprise, elle me restait fidèle et je n’avais aucun doute. Un soir, lorsque nous faisions l’amour, je l’avais traitée de salope, pensant qu’elle aimerait aussi :
    
    — Pourquoi dis-tu cela William ? Si je t’aime c’est parce que tu n’es pas comme tous ces types, j’aime ta délicatesse, ton affection, reste comme tu es. Me dit-elle en m’embrassant passionnément.
    
    — Excuse-moi ma petite chérie.
    
    — Mais si tu as besoin de ça, je suis prête à accepter, je sais c’est assez excitant, c’est vrai. Je suis prête à tout pour toi mon amour et si tu veux me traiter de putain, fais-le.
    
    Avant de rentrer à la maison ce soir-là, je lui avais demandé si le fait de faire l’amour que quelques fois par semaine, lui suffisait. Ce ...
    ... fut avec une grande franchise qu’elle me répondit : « Bien sûr que non mon chéri, mais c’est la vie, j’attendrai. J’aimerais que tu viennes bien plus souvent et que tu restes toute la nuit. Tu vois ce soir, j’ai encore envie de toi. » Cela m’avait perturbé un moment, j’avais très mal dormi. Le lendemain, lorsque j’en avais parlé à Stella, celle-ci était contre que je passe toutes les soirées chez Agnès, c’était pour l’équilibre des enfants, de son côté, elle faisait de même.
    
    Un an et demi plus tard, j’étais parti en congé avec femme et enfants, nous étions rentrés le dimanche. Le lundi j’avais beaucoup de travail, j’étais venu faire la bise à Agnès, j’avais hâte de la retrouver le soir, quinze jours sans la voir me fut très pénible. À peine arrivé chez elle, je l’avais pris dans mes bras pour l’embrasser dans le hall. Soudain, elle me repoussa gentiment et me dit d’un ton assez froid : « William ! Je m’étais toujours jurée de ne jamais te mentir, ni de te trahir. Voilà… j’ai fait une connerie samedi. » Je commençai à paniquer, je pensais qu’elle allait me dire qu’elle désirait me quitter, qu’elle avait rencontré quelqu’un d’autre : « Tu ne m’aimes plus ma petite chérie ? » :
    
    — Je t’aime plus que tout mon amour, mais moi non plus je ne te mérite pas. Je t’ai trompé, j’en suis vraiment désolée. Me dit-elle en tombant dans mes bras en pleurant.
    
    Ma panique se transforma en un drôle de sentiment, bien entendu d’apprendre d’être une nouvelle fois cocu ne me plut guère sur le ...
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