Série insolite. Épisode 11 : « William ». Le cocu prend plaisir à voir sa future femme se faire baiser. Partie 2/13
Datte: 28/09/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Je m’appelle William, lors de la première partie mon histoire, dans la série insolite N°10, je vous avais expliqué comment j’avais pris un grand plaisir à me masturber en voyant mon épouse me cocufier, ce qui avait ruiné ma vie de couple. En effet en 2009, le soir même où Stella avait couché avec le jeune maçon, elle voulut me faire l’amour, pour me prouver le contraire. Je n’en avais plus trop l’habitude, malgré mes caresses et mon cunnilingus, je ne parvenais pas à la faire jouir. Pour ma part, je bandais mou, je n’obtenais pas l’érection nécessaire pour lui fournir un orgasme pendant le coït. En repensant aux insultes qu’elle demandait à ses amants, je fis ce qu’elle avait exigé à Anthonio en la prenant en levrette :
— Allez salope ! Je vais t’enculer comme une pute.
Cela n’avait pas eu l’effet escompté, Stella se fâcha et en se relevant, me mit une gifle en me demandant ce qui m’arrivait, qu’elle n’était, ni ma salope, ni ma putain :
— Pour qui te prends-tu William ? Plus jamais, tu ne me traites ainsi. C’est bon ! Je vais dormir à côté, tu n’es qu’un minable qui se branle en me matant me faire baiser.
Je compris tout de suite que l’apprenti m’avait vu et qu’il l’avait dit à son patron. Le maçon ne s’était pas gêné de vendre la mèche. À partir de là, je savais que Stella ne m’aimait plus, elle devait rester uniquement avec moi pour les enfants et son bien-être. Elle ne travaillait pas car elle avait financièrement, tout ce dont elle avait besoin. Je me ...
... demandais pourquoi je la laissais me faire autant de mal. Je ne l’aimais plus, je m’en apercevais, je vivais toujours avec elle car je voulais montrer une bonne image de moi. Celle d’un homme comblé professionnellement et sentimentalement, toutes ces tromperies étaient pour moi le moyen d’assouvir mes fantasmes.
Ce fut Agnès qui le lendemain, m’avait ouvert les yeux en devenant ma première maitresse, après 16 ans de mariage. J’avais cédé aux avances de ma jeune employée, chargée de la qualité de production. Cette jeune femme de 25 ans, je l’avais connu toute petite, était la fille d’une très bonne amie à Stella. Dix ans plus tôt, l’adolescente vivait très mal le divorce de ses parents et la fuite de son père. En 1999 Agnès était au collège, lorsque mon épouse me demanda de prendre la jeune fille de quinze ans, en stage pour une semaine.
À l’époque, j’avais 32 ans, je n’étais pas encore directeur mais je commençais à avoir de bonnes responsabilités. Ayant une très mauvaise réputation, j’avais tenu qu’Agnès reste avec moi pendant les cinq jours de stage. Elle ne m’avait pas quitté, j’avais trouvé la gamine très impliquée et m’avait confié son mal-être. Ce fut la raison pour laquelle, lorsque nous dinions chez sa mère, nous avions continué à beaucoup parler ensemble. Quatre ans plus tard, après son Bac, qu’elle avait obtenu, désirant son autonomie en rentrant dans la vie active, elle me supplia de l’embaucher. Je venais de devenir le bras droit du Directeur, j’appréhendais ...