Série insolite. Épisode 11 : « William ». Le cocu prend plaisir à voir sa future femme se faire baiser. Partie 2/13
Datte: 28/09/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... beaucoup de le faire. Néanmoins, je désirais l’aider avant tout, Agnès et moi étions devenus encore plus proches, elle était comme ma petite sœur.
Elle m’avait promis de bien se comporter et de se donner à fond dans son travail. Elle fut embauchée au départ sur la chaine de fabrication, Agnès se montra courageuse, ponctuelle et très assidue, elle était heureuse et cela se ressentait dans son travail. Toujours souriante et très respectueuse, tout le personnel l’appréciait. Ce fut la raison pour laquelle, je n’avais pas hésité de la faire gravir plusieurs échelons et dernièrement, je l’avais envoyée en stage afin qu’elle devienne l’adjoint du responsable de qualité de production qui partait en retraite trois ans plus tard.
Si sur le plan professionnel elle était parfaite, je savais que dans sa vie privée, c’était une petite coquine. Elle changeait souvent de copain, sans être considérée comme une trainée, il se disait d’elle dans la ville qu’elle n’était pas bonne à marier, elle aimait trop le sexe pour être fidèle. Elle était très désirable, de nombreux types lui couraient après, cependant, elle ne couchait pas avec le premier venu. Après ce fameux lundi matin où le maçon avait enculé mon épouse Stella, le mercredi peu avant midi, après la réunion hebdomadaire, Agnès m’avait trouvé assez distant. Elle s’était rendu compte tout de suite que je n’étais pas très bien, mal dans ma peau.
Elle était venue discrètement dans mon bureau à midi, lorsque la secrétaire était ...
... partie et me demanda ce qui se passait. J’étais avachi dans mon fauteuil la tête déconfite, me voyant déprimé ainsi, elle vint s’assoir sur mes genoux et me secoua un peu : « William dis-moi ce qui ne va pas, je n’aime pas te voir comme ça. » Il n’y avait qu’en privé qu’elle me tutoyait et c’était la première fois au travail. Je n’avais pas trop envie de lui dire car j’avais honte de moi, cependant devant son insistance, je lui dis que Stella me trompait : « V’là seulement que tu le sais ? Je croyais que tu le savais. » Je ne répondis pas, j’avais les larmes aux yeux.
Agnès pris mes joues entre ses deux mains, nos visages n’étaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre : « Stella ne te mérite pas William, je t’aime moi, depuis le début. » Me dit-elle en déposant une bise sur les lèvres : « Mais Agnès que fais-tu, tu es comme ma petite sœur voyons. » Elle ne me laissa pas finir, sa bouche se colla à la mienne, sa langue força le passage. Je me laissai allé et nous nous étions embrassés : « William, tu n’es pas mon grand frère, tu m’as entendu ? Je t’aime. » Me répéta-t-elle en m’enlaçant et en me déposant une nouvelle bise sur mes lèvres : « Allons déjeuner et nous irons chez moi, j’ai envie de toi mon amour. »
Nous n’avions pas déjeuner ce jour-là, nous avions passé deux heures à faire l’amour. Je compris immédiatement qu’Agnès m’aimait de tout son cœur et que je tombais sous son charme, je fus très vite amoureux de ma petite protégée. Avec Stella nous ne nous aimions ...