1. Jour de l'An


    Datte: 28/09/2022, Catégories: fh, ff, candaul, voisins, sauna, Oral fgode, pénétratio, fsodo, échange, attache, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... erreurs. Et pourtant c’est ce qui se produit chez mon esthéticienne lorsque je me présente pour profiter de son sauna. Il y a une autre personne qui manifestement s’est inscrite aussi. Mais heureusement, cette femme est ma voisine, Agnès que je connais bien. Elle et son mari Marc sont venus souvent à la maison, nous avons été chez eux et nous nous sommes souvent retrouvés chez des amis communs.
    
    — On pourrait partager si cela ne te dérange pas.
    
    Je pose cette question dont la réponse m’apparaît évidente. Ayant déjà utilisé ce sauna, je sais que la pièce est bien assez grande pour trois ou quatre personnes. Si cela avait été de partager avec un homme, on pourrait se poser la question. Mais avec une femme ! Une amie en plus !
    
    — Pas de problème.
    
    Quelques minutes plus tard nous voici enveloppées dans une grande serviette et nous nous adaptons doucement à la température et l’humidité. Grandes serviettes, car manifestement Agnès, pensant comme moi être seule, n’avait pas prévu de maillot. Du coup la douche avant d’entrer a été un moment un peu délicat. Je dis délicat, pour Agnès, qui manifestement n’avait pas l’habitude d’une telle promiscuité. Mais j’ai fait ce qu’il faut pour ne pas la mettre mal à l’aise, j’ai regardé ailleurs.
    
    Mais une fois bien installée dans le sauna, la serviette me pèse. La nudité pour moi est naturelle. J’ose alors :
    
    — Cela ne t’ennuie pas si j’enlève ma serviette ?
    
    Agnès n’hésite pas pour me répondre :
    
    — Je t’en prie.
    
    Aussitôt, ...
    ... aussitôt fait. C’est un réel soulagement de pouvoir offrir tout son corps à la chaleur.
    
    — Tu devrais faire pareil, cela change tout.
    — Euh, c’est-à-dire que…
    — Allons, pas de fausse pudeur. Tu n’es pas pudique à ce point, on est entre nous.
    
    Elle reconnaît le bien-fondé de mes arguments. Elle est nue. Je ne la regarde pas pour ne pas la mettre mal à l’aise. Mais c’est elle qui manifestement m’a détaillée et me questionne :
    
    — Tu n’as pas de marques de bronzage ! Tu fais comment ? Du naturisme ?
    
    Je tourne la tête vers elle. Agnès n’a manifestement pas eu ma délicatesse et a assez regardé pour voir que le bronzage de l’été encore visible recouvre tout mon corps. Pas de traces de bretelles disgracieuses. Ma poitrine uniformément colorée par les rayons du soleil. Des rayons qu’aucune culotte n’a empêché de dorer, mes fesses et même tout prêt de mon minou.
    
    — Oui, depuis quelques années.
    — Ah ! Et ce n’est pas mauvais pour la poitrine et… là ?
    
    Le « là » , c’est mon entrejambe qu’elle désigne du regard. Je souris. La plupart du temps lorsque j’avoue mon naturisme la première question est plutôt du genre :
    
    — Ah ! Et cela ne te gêne pas de te montrer toute nue ? Avec tous ces gens autour de toi. Les gens sont laids. Moi, je ne pourrais pas. Et Louis aussi ?
    
    Voilà un résumé des questions et même des affirmations classiques. En général c’est « après » que la question du risque par le soleil sur des parties délicates arrive. Si j’avais dû parier sur la réaction de ...
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