Jour de l'An
Datte: 28/09/2022,
Catégories:
fh,
ff,
candaul,
voisins,
sauna,
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
échange,
attache,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... proteste pas. L’homme soutient sa tête avec une main et pousse lentement son mandrin. Il est délicat. Il avance, mais recule aussi pour lui laisser le temps de reprendre sa respiration. Il se retire, mais la poussée suivante emmène le mandrin de plus en plus loin. Les micros sont si sensibles que je peux suivre chaque respiration, chaque gargouillis que la bite provoque alors qu’il baise doucement la gorge d’Agnès.
Il avance. Il recule, retire son dard, provoquant des coulures de salives qui enduisent maintenant le visage de ma femme. Il avance… encore… encore… Il recule. Elle tousse, pleure, cherche sa respiration, mais ne proteste pas. Il faut dire que l’homme sait l’encourager.
— C’est bien… Respire… Ta langue… Oui… Coquine… Tu aimes ça… Pense à Marc… Avec Nadia… Elle doit lui faire le grand jeu… Tu sais comme elle peut être cochonne… Et toi, tu es cochonne ?
Ce ne sont pas de vraies questions. Elles sont autant pour provoquer qu’encourager.
La bite avance. Irrémédiablement. Il va jouir. Je sens sa sève monter, mais en réalité c’est moi qui crache ma gourme que Nadia se fait une joie de recueillir. Il baise sa gorge. Lentement.
— Ne t’inquiète pas. Il est clean.
Nadia est revenue vers moi :
— Regarde comme il pousse son gland dans sa gorge. C’est si bon… Elle doit aimer… Vous ne l’avez jamais fait ?
— Non, pas comme ça.
On commente comme des voyeurs anonymes. Pourtant c’est son mari et c’est ma femme. Nadia a l’habitude, mais pas moi. Quel couple ...
... !
Il me regarde. C’est comme si son regard traversait le verre. Je sens comme une provocation, en tout cas de la fierté de ce qu’il réalise. Pourtant il ne sait pas que je regarde. Je vois la trachée se gonfler alors que la bite a totalement disparu et que les couilles doivent se frotter au nez de la… j’allais dire « salope ». Mais c’est ma femme.
Et puis L’homme se retire un peu. Quelques va-et-vient et puis il jouit. Il est moins dans la provocation, son visage se crispe annonçant sa jouissance. Il est seul. Peu importe qui regarde ou pas. Il est comme tous les hommes lorsque le plaisir le submerge. On parle souvent de cette sensation pour la femme, mais pour l’homme, si c’est différent, c’est cependant comme un vague, une déferlante.
Il crache son foutre. J’en imagine la puissance, la quantité… Je l’ai déjà vu… dans la véranda… la fois, avec les deux femmes où il a giclé sur elles, alors qu’elles l’avaient sucé à leur tour et que leur visage avait reçu la récompense de leurs efforts. Comme une source, plutôt comme un geyser… Et maintenant c’est la salope… Oh pardon, Chérie, mais ce n’est pas une injure, juste un peu plus fort que « coquine », que « cochonne », mais c’est ce mot qui me vient naturellement à l’esprit.
Je n’avais pas fantasmé notre première fois de cette façon. Dans mon esprit, je m’étais imaginé avec Nadia, mais pour toi et Louis ma vision était plus floue, tout au plus une possession « pépère », toi sur le dos et Louis te possédant alors que moi ...