Jour de l'An - Histoires de Sexe

Jour de l'An

... lèvres qui sont celles de mon épouse. Ma femme, ma complice, mon amante avec qui j’ai tout partagé. Si elle suce si bien cet homme, c’est un peu grâce à moi. Lorsque je l’ai rencontrée, elle n’était pas farouche, au contraire, même avec une réputation de bien aimer la baise. Mais elle était trop gourmande, goulue de plaisir et pressée d’aller au plus vite. Un comble, c’est moi, un homme qui ai enseigné à une femme, les joies des préliminaires. Une pipe progressivement menée. Un cunni longuement pratiqué, apportant la jouissance, mais aussi l’envie d’une possession pour après. Elle le suce.

— Putain, c’est bon, dit l’homme. On sent que tu aimes ça. Pas seulement pour moi, mais pour toi aussi. C’est Marc qui t’a enseigné cela ?

Le coup d’œil dans ma direction est comme un compliment. C’est fou d’entendre l’amant de sa femme reconnaître que c’est un peu grâce au mari qu’elle suce si bien.

— Tu vas voir, moi aussi je suis bonne, me susurre à l’oreille l’épouse de l’autre qui est juste remontée pour un baiser et cette promesse, avant de replonger.

Ça doit être cela l’échangisme. Ma femme te suce pendant que la tienne fait de même. Quelle est la meilleure ?

J’oublie toutes mes questions et mes retenues. C’est bon. Oui, c’est bon de voir ma coquine d’épouse pomper le dard du voisin, celui que nous avons suivi dans ses aventures pendant des semaines et je peux comprendre que toutes ces vidéos lui aient donné des idées. Comme moi avec la voisine qui rivalise avec sa ...

... concurrente.

De longues secondes nous sommes complices, Louis et moi, même s’il ne me voit pas. Je vois, et étonnamment j’en suis fier, qu’Agnès lui arrache des soupirs. Elle fait de son mieux comme avec moi, mais le membre est trop long pour qu’elle puisse le gober totalement. Mais c’est une limite que Nadia ne connaît pas. La salope met toute son expérience d’échangiste pour me prendre jusqu’aux couilles. La vache !

— Viens, je vais t’apprendre une autre façon.

Louis aide ma femme à se relever et la pousse vers le lit. Juste deux pas.

— Allonge-toi.

Elle obéit ! Il l’aide. Elle doit voir les menottes. Pourtant elle ne réagit pas. A-t-elle conscience que cette pièce ne sert pas seulement à des rencontres « classiques » ? Peut-être qu’il l’a prévenue en entrant. Il y a au moins une minute entre leur entrée et l’ouverture du rideau. Prévenue et rassurée, sinon elle se serait inquiétée. Ni elle ni moi n’avions imaginé que lorsque le couple quittait la véranda, c’était pour venir ici et que l’épouse infidèle recevait sa punition, punition que manifestement elle ne redoutait pas.

Il la place, allongée sur le dos, la tête dépassant largement du lit. Je comprends alors son intention alors qu’il avance son mandrin pour le proposer aux lèvres brillantes de gloss et de salive. C’est une position que je n’ai jamais osé proposer à mon épouse. Elle l’aurait probablement trouvée trop « technique » et enlevant toute spontanéité à la fellation. Mais avec Louis, elle ne ...