Auto-stop pour les vacances - Histoires de Sexe

Auto-stop pour les vacances

... devenu, ce nouveau genre. Je dois apprendre à accepter de plaire et d’inspirer du désir à un homme.

— Si je t’ai permis de gagner un peu d’assurance, j’en suis ravi. Pour t’épanouir et te libérer, il te faudra t’assumer en société, accepter de te faire aborder, de te faire courtiser. Assez de bavardage, nous devenons trop sérieux, buvons un verre. Lana, que désires-tu ?
— Je boirais bien un grand whisky sec, s’il te plaît.

Je me pose nue dans le profond canapé en cuir. Après avoir servi, il vient s’asseoir à côté de moi et me tend mon verre. Nous sommes à égalité, il est nu sous son tablier de cuisinier, son sexe semble avoir quelque peu fléchi… dommage ! Nous trinquons, je bois mon verre en deux ou trois gorgées, et le repose sur la table basse.

— Eh bien, pour une jeune fille !
— Ah, tu trouves ? ambiguë et singulière, c’est toi qui le dis… Non !

J’aime sentir les effets d’une légère ivresse et puis cela me désinhibe, après je serai une amante passionnée et docile.

— Oh là, l’atmosphère devient sulfureuse, je te laisse cinq minutes, je vais à mon tour me rafraîchir sous la douche. Fais comme chez toi.

Me voilà seule, pendant une seconde je pense le rejoindre sous la douche, me jeter à genoux devant son sexe… J’y renonce. Un peu de patience, ne pas céder au premier désir, je ne suis pas avec Philippe et sa queue, ce duo libidineux, trop avide de jouir de moi. Il est temps de prendre ma sexualité en main, le libre choix, plutôt que de se laisser ...

... manipuler, le feeling, la séduction et non la contrainte, je veux m’épanouir et non pas être frustrée. C’est bien beau les bonnes résolutions, mais encore faut-il les mettre en pratique.

J’entends la porte de la salle de bain, des pas, il arrive. Je me tourne vers l’entrée du couloir, il se tient à l’entrée du salon, dans un peignoir de soie vaporeuse aux motifs asiatiques.

— Comment trouves-tu le cadeau de ma fille ? Elle me l’a ramené de Chine.
— Très beau, mais très chaste, j’espérais contempler le corps d’un si jeune sexagénaire, et enfin admirer cette magnifique turgescence qui m’honorait il y a quelques instants.
— Oh, mais toutes mes excuses, je manque à tous mes devoirs, je ne t’ai pas présenté !.

Il avance vers moi d’un pas lent, dans le même temps, j’avance davantage sur le bord de l’assise du canapé. Arrivé à ma hauteur, il pivote vers moi, et fait glisser son peignoir. Il est svelte, musclé discrètement, une toison grisonnante court de sa poitrine vers un pubis soigneusement taillé. Sa verge imposante sans être en réelle érection, son sommet est couronné par énorme cèpe bordelais, sa longueur semble raisonnable, en revanche sa largeur au repos est impressionnante.

Ce sexe majestueux repose sur des testicules vierges de poils, je les soupèse délicatement de ma main gauche, je les cajole de la pulpe des doigts. Ma main droite redresse délicatement cette virilité assoupie, j’humidifie mes lèvres avant de déposer un tendre baiser sur la tête de ce sceptre. Il est ...